Posté par: Stéphane (IP Loggée)
Date: 28 janvier, 2015 03:06
Chaque année on a droit à des tonnes de discours, des tonnes de commentaires, des tonnes d'erreurs.
En discutant avec des gens qui ne connaissent pas vraiment l'histoire du camp, l'histoire de la Pologne on s'aperçoit qu'un grand nombre d'amalgames sont faits même si l'histoire du fameux camp polonais journalistique est heureusement en perdition.( mais il en reste encore )
Aujourd'hui tout le monde ou presque est encore persuadé que Auschwitz était un camps pour gazer les juifs et notamment ceux d'Europe de l'Est . Et Majdanek et Sobibor ?
J'ai remarqué aussi que les gens confondent les camps, Auschwitz I et Auschwitz II mais aussi qu'ils se mélangent dans les dates des déportations. Et ainsi de suite ce qui me semble malheureux. Pouvons nous ici, unir nos forces et essayer modestement et même avec du temps de rectifier certaines choses ?
Je pense que ça serait une belle aventure
Posté par: Mik (IP Loggée)
Date: 28 janvier, 2015 06:47
Si vous publiez une histoire de ce camp ça permettra de s'instruire à tous ceux qui, comme moi, connaissent très mal ce sujet.
Mik
Posté par: Stéphane (IP Loggée)
Date: 28 janvier, 2015 14:00
Ce qui me chagrine ce sont les sources dont disposent les Français à savoir les journaux quand il y a une commémoration et Wikipédia qui est truffée d'erreurs.
Et pas grand monde ne va dire par exemple que les premières victimes d'Auschwitz étaient les Polonais. (en terme de date)
Sur Wikipédia : Auschwitz I, ouvert le 20 mai 1940 — Le camp souche (principal) est un camp de concentration où périrent près de 70 000 personnes, au début des prisonniers de guerre et des opposants politiques polonais et soviétiques.
En 1940 des soviétiques à Auschwitz ???? L'Allemagne et la Russie étant des alliés il ne devait pas y en avoir beaucoup ......
Encore une suggestion visant à faire croire que dès le début les soviétiques ont été des victimes du système .
A cette époque la solution finale n'était encore pas mise en place et on ne pouvait pas parler de camp d'extermination.
Il me semble d'ailleurs que les expériences de meurtres de masse n'ont pas été faite à Auchwitz mais à Treblinka ( à vérifier )
Posté par: jan marek (IP Loggée)
Date: 28 janvier, 2015 14:43
En avril 1940, Rudolph Höss, qui devint le premier commandant du camp, nota la ville de Oswiecim comme site possible pour la construction d'un camp. La fonction première de ce camp devait être d'intimider les polonais et de prévenir toute action de résistance. Le 27 avril, Himmler ordonna la construction du camp.
En mai 1940, les populations polonaises des villages environnant le camp furent expulsées et dans de nombreux cas massacrées. Une équipe de travail composée de détenus du camps de Sachsenhausen fut envoyée pour les travaux. Près de 300 membres de la communauté juive d' Oswiecim furent également arrêtés et utilisés comme travailleurs dans la construction du camp.
Le premier transport de prisonniers, composé quasi exclusivement de civils polonais, arriva en juin 1940. A la même époque, l'administration SS s'installa dans le camp. Le 1er mars 1941, la population du camp s'élevait déjà à 10.900 prisonniers. Déjà à cette époque, la réputation d'auschwitz en tant que centre d'exécution de masse était établie.
[www.jewishgen.org]
Posté par: jan marek (IP Loggée)
Date: 28 janvier, 2015 15:04
Les premiers prisonniers sont des opposants politiques polonais, socialistes ou communistes pour la plupart. Une première vague, au nombre de 720, arrive en juin 1940. Le camp est prévu pour ceux que le régime nazi estime dangereux : suspects de résistance, hommes politiques, intellectuels, puis des prisonniers de guerre soviétiques, des Allemands condamnés par les tribunaux, des prisonniers politiques, ainsi que ce que les nazis appellent des « éléments asociaux » : Tziganes, prostituées, homosexuels, handicapés, Témoins de Jéhovah, Juifs. En 1940, le camp renferme de 13 000 à 16 000 détenus, pour 300 gardiens SS6. Le nombre de prisonniers atteint environ 20 000 en 1942. Durant les vingt premiers mois, plus de la moitié des 23 000 prisonniers polonais meurent à la suite des traitements inhumains et des tortures infligés par les gardiens SS7.
Posté par: jan marek (IP Loggée)
Date: 28 janvier, 2015 15:21
Création et extension du camp
Richard Glücks, qui a succédé à Theodor Eicke en tant qu'inspecteur des camps de concentration, nomme Höß commandant du nouveau camp d'Auschwitz dont la création a été décidée le 27 avril 1940.
Höß et une poignée de gardes SS y arrivent le 1er mai 1940, suivis, le 20 mai, parmi les premiers internés, 30 criminels allemands de droit commun transférés de Sachsenhausen pour remplir la fonction de Kapo.
Après un renforcement de la garde par 120 SS provenant notamment des camps de Buchenwald, Dachau et Flossenburg, 728 détenus politiques polonais arrivent au camp le 14 juin 1940.
Comme à Dachau et Sachsenhausen, Höß fait apposer sur le portail d'entrée du camp la devise Arbeit macht Frei (le travail rend libre). Dès le 18 juin, Höß demande au responsable des constructions un rapport hebdomadaire sur l'état d'avancement des travaux visant à alimenter le camp en eau potable, à évacuer les eaux usées et à drainer les terres marécageuses.
Dès septembre 1940, Oswald Pohl ordonne à Höß d'augmenter la capacité du camp en ajoutant un étage aux bâtiments existants, afin de développer le travail forcé dans les carrières de sable et de gravier voisines.
En novembre 1940, Höß a une entrevue avec Heinrich Himmler au cours de laquelle les deux hommes évoquent les projets de développement du camp, dans le cadre d'expérimentations agricoles.
À la fin de 1940, Höß avait mis en place nombre des structures et principes élémentaires qui allaient régir le fonctionnement du camp dans les quatre années suivantes. » « Pour empêcher les évasions, la politique de Höß était simple : répression brutale ». Si les évadés, le plus souvent des Polonais, ne sont pas repris, Höß fait interner leur famille ou fait sélectionner dix détenus du bloc dont provient l'évadé pour les laisser mourir de faim dans les caves du bloc 11, la prison du camp, « une mort lente et atroce ».
Promu Sturmbannführer le 30 janvier 1941, Höß est rapidement débordé par les travaux d'agrandissement du camp principal (Stammlager) d'Auschwitz I ; il délègue donc à ses adjoints la construction du camp de Birkenau (Auschwitz II), initialement destiné à l'internement de prisonniers de guerre soviétiques.
Posté par: jan marek (IP Loggée)
Date: 28 janvier, 2015 15:26
Voilà une bonne base de départ qui me parait cohérente.
Posté par: Stéphane (IP Loggée)
Date: 28 janvier, 2015 15:41
jan marek a écrit:
-------------------------------------------------------
> Voilà une bonne base de départ qui me parait
> cohérente.
Moi aussi il y a déjà de quoi dire
Posté par: Stéphane (IP Loggée)
Date: 28 janvier, 2015 18:24
jan marek a écrit:
-------------------------------------------------------
> En mai 1940, les populations polonaises des
> villages environnant le camp furent expulsées et
> dans de nombreux cas massacrées. Une équipe de
> travail composée de détenus du camps de
> Sachsenhausen fut envoyée pour les travaux. Près
> de 300 membres de la communauté juive d' Oswiecim
> furent également arrêtés et utilisés comme
> travailleurs dans la construction du camp.
Et c'est là qu'il y a bagarre de chiffres car jusqu'en 41 on ne sait pas trop si les juifs ont été arrêtés en tant que juif ou en tant que polonais. Du coup chacun compte comme il en a envie ce qui fausse les chiffres
Posté par: jan marek (IP Loggée)
Date: 28 janvier, 2015 19:31
Fin avril 1940, Rudolf Höss est nommé commandant du futur camp d'Auschwitz. Höss s'installe avec cinq SS à Auschwitz pour diriger les travaux de transformation.
Le 4 mai 1940 débute la construction du camp.
Sur ordre du maire d'Auschwitz, la communauté juive locale met 300 hommes à la disposition des travaux de transformation et de construction du camp.
Arrivée de trente internés en provenance du camp de Sachsenhausen.
Question :
Le maire d'Auschwitz recevait-il des ordres ?
Posté par: Stéphane (IP Loggée)
Date: 28 janvier, 2015 19:50
jan marek a écrit:
-------------------------------------------------------
>
> Question :
> Le maire d'Auschwitz recevait-il des ordres ?
Pendant la guerre, il y avait une administration polonaise ?
Posté par: jan marek (IP Loggée)
Date: 29 janvier, 2015 08:15
J'ai assez lu, pensé et réfléchi. Les souvenirs remontent lentement à la surface et je suis intimement convaincu que ce choix imposé au maire d'Auschwitz a été ordonné par ces salauds de ss (en minuscules).
Comment pouvait-il en être autrement après la création des ghettos et toutes les barbaries perpétrées. Ce qui restait de l'administration polonaise n'avait pas le choix, comme ici en zone occupée.
Posté par: Stéphane (IP Loggée)
Date: 29 janvier, 2015 16:03
jan marek a écrit:
-------------------------------------------------------
> J'ai assez lu, pensé et réfléchi. Les
> souvenirs remontent lentement à la surface et je
> suis intimement convaincu que ce choix imposé au
> maire d'Auschwitz a été ordonné par ces
> salauds de ss (en minuscules).
> Comment pouvait-il en être autrement après la
> création des ghettos et toutes les barbaries
> perpétrées. Ce qui restait de l'administration
> polonaise n'avait pas le choix, comme ici en
> zone occupée.
Autant que je sache toute la Pologne était placée sous commandement allemand et Auschwitz devait être dans le district de Krakow Je ne vois donc pas comment un maire pouvait être en place pour la bonne raison que la Pologne n'avait pas de gouvernement de collaboration.
Ce n'était pas des zones occupées comme en France, mais des zones annexées au Reich (et à l'URSS ) ce qui n'est bien sûr pas la même chose
Posté par: jan marek (IP Loggée)
Date: 29 janvier, 2015 16:29
Merci Stéphane pour cette précision.
Posté par: jk (IP Loggée)
Date: 29 janvier, 2015 17:03
Je crois me souvenir que les Allemands dirigeaient le ghetto par l'intermédiaire du « judenrat » qui devait exécuter les ordres des occupants. :S
Posté par: Stéphane (IP Loggée)
Date: 29 janvier, 2015 19:00
jk a écrit:
-------------------------------------------------------
> Je crois me souvenir que les Allemands dirigeaient
> le ghetto par l'intermédiaire du « judenrat »
> qui devait exécuter les ordres des occupants. :S
Exact mais là on sort un peu du sujet construction de Auschwitz.
Donc en résumé :
Décision de créer un camp à Auschwitz par les nazis en avril et ouverture en mai 1940.
Jusqu'en juin 41 le camp qui est un camp de concentration et de travail ( ce n'est pas un camp d'extermination ) sert aux prisonniers polonais dont plus de la moitié vont mourir .
Contrairement à ce qui est dit sur Wikipédia j'ai un peu de mal à croire que avant juin 41 il y avait beaucoup de prisonniers politiques soviétiques.
Les Russes n'avaient pas à confier leurs prisonniers politiques aux Allemands, ils avaient et la Sibérie et des cartouches.
En consultant quelques textes en français, on passe trop rapidement de mai 1940 à juin 41. Or en un an il s'est quand même passé beaucoup de choses non ?
Posté par: Zefir (IP Loggée)
Date: 29 janvier, 2015 23:33
Stéphane a écrit:
-------------------------------------------------------
> Chaque année on a droit à des tonnes de
> discours, des tonnes de commentaires, des tonnes
> d'erreurs.
> En discutant avec des gens qui ne connaissent pas
> vraiment l'histoire du camp, l'histoire de la
> Pologne on s'aperçoit qu'un grand nombre
> d'amalgames sont faits même si l'histoire du
> fameux camp polonais journalistique est
> heureusement en perdition.( mais il en reste
> encore )
>
> Aujourd'hui tout le monde ou presque est encore
> persuadé que Auschwitz était un camps pour gazer
> les juifs et notamment ceux d'Europe de l'Est .
> Et Majdanek et Sobibor ?
>
> J'ai remarqué aussi que les gens confondent les
> camps, Auschwitz I et Auschwitz II mais aussi
> qu'ils se mélangent dans les dates des
> déportations. Et ainsi de suite ce qui me
> semble malheureux. Pouvons nous ici, unir nos
> forces et essayer modestement et même avec du
> temps de rectifier certaines choses ?
>
> Je pense que ça serait une belle aventure
Dans le même genre, nous avons aussi la confusion entretenue sciemment à propos de la Révolte du Ghetto de Varsovie d'avril 1943 et l'Insurrection de Varsovie d'août 1944.
Posté par: Stéphane (IP Loggée)
Date: 30 janvier, 2015 02:52
Zefir a écrit:
-------------------------------------------------------
> Dans le même genre, nous avons aussi la confusion
> entretenue sciemment à propos de la Révolte du
> Ghetto de Varsovie d'avril 1943 et l'Insurrection
> de Varsovie d'août 1944.
Exactement . Et même moi je raconte des bêtises dans mon intro car je cite Sobibor et Majdanek tout en oubliant Treblinka
Posté par: jan marek (IP Loggée)
Date: 30 janvier, 2015 15:46
Voici ce que j'ai trouvé de plus intéressant (hors Wiki) :
Chronologie du camp d'Auschwitz :
[d-d.natanson.pagesperso-orange.fr]
Auschwitz, camp de concentration nazi :
[www.encyclopedie.bseditions.fr]
Kazimierz ZAJAC, tatoué N° 261 faisait partie des 728 prisonniers politiques, il témoigne :
[www.lemonde.fr]
Rudolf HOSS, Commandant du camp d'Auschwitz : 1940-1943
Chapitre : Création et extension du camp (voir ci-dessus)
Posté par: Malczewski (IP Loggée)
Date: 18 avril, 2015 11:28
Le mieux est peut être de se rendre directement sur le site du musée d'Auschwitz pour commencer, et de lire le dossier histoire qui est bien fait.
On y apprendra par exemple que les premiers déportés sont arrivés le 14 juin 1940 et qu'il s'agissait de 728 polonais dont 20 juifs en provenance de Tarnów.
"Chaque année on a droit à des tonnes de discours".
Non, on n'en fera jamais assez des tonnes, surtout depuis quelques années, on doit comprendre que cet événement est un marqueur unique dans l'histoire de l'humanité, pas seulement Auschwitz qui en reste le symbole, mais toute la chaîne qui a menée à tout cela et dont la source remonte à au moins une douzaine d'années auparavant.
Posté par: Vendôme (IP Loggée)
Date: 18 avril, 2015 18:14
Il est mentionné ici à plusieurs reprises "la construction du camp", mais il me semble que le camp existait avant l'arrivée de Rudolf Höß et de ses salopards.
J'ai visité Auschwitz I, et si j'ai bien compris les explications (mes écouteurs merdaient), je crois me souvenir qu'à l'origine c'était un camp militaire polonais (le tertre sous lequel se trouvait la chambre à gaz et les crématoire, était un dépôt de munitions)
(http://nsa38.casimages.com/img/2015/04/18/150418055911356571.jpg)
(photo Vendôme)
Le tertre avec la chambre à gaz et les crématoires.
Les camions avec leurs "chargements" attendaient en retrait. La guide expliquait que
les chauffeurs faisaient tourner les moteurs à fond pour masquer aux futurs suppliciés
les hurlements des gazés à l'intérieur (malgré l'épaisseur des murs et de la terre)
(http://nsa38.casimages.com/img/2015/04/18/150418060931137307.jpg)
Si j'ai bien compris, ce sont parait-il les marques de griffures des malheureux dans la chambre à gaz.
(http://nsa37.casimages.com/img/2015/04/18/150418060453214634.jpg)
(photo Vendôme)
Le gibet où a été pendu R. Höß (où étaient pendus, entre autres, les membres de la Résistance interne et les évadés)
Birkenau, où étaient tués les enfants, je n'ai pas eu la force d'y aller.
Posté par: jean pierre (IP Loggée)
Date: 18 avril, 2015 18:42
sauf avis contraire).. (auschwitz(1) était une caserne d'artillerie montée ( a cheval) ou Jan karski a été mobilisé en 1939.
....J'étais sous-lieutenant de l'artillerie montée et mon régiment était cantonné a Oswiecim, juste a coté de la frontière allemande......
Jan karski Mon témoignage devant le monde, page deux, éditions point de mire 2004.
Posté par: Lenka (IP Loggée)
Date: 18 avril, 2015 19:37
Bonjour smiling smiley
Miasteczko Oświęcim leżało na granicy polskiej Galicji i Prus.
Przełom XIX i XX wieku to okres masowej emigracji mieszkańców Galicji w poszukiwaniu lepszych warunków życia.
Biedota z małopolskich i podkarpackich wsi szukała lepszego życia w Ameryce i Europie Zachodniej, ale wielu nie było stać na tak daleką podróż.
Ci wyjeżdżali do pracy do sąsiednich Prus.
Po drodze trafiali do ostatniego galicyjskiego miasteczka przed granicą: Oświęcimia.
Oczywiście w Prusach nie było pracy dla każdego.
W efekcie tysiące bezrobotnych zostawały w Oświęcimiu, czekając tu na jakąkolwiek, choćby dorywczą pracę.
Problem narastał, szczególnie że wybuch I wojny światowej wielu tułaczom zupełnie uniemożliwił powrót do domów.
Aby zaradzić zupełnemu zalaniu miasteczka przez bezrobotnych, jego władze w odległości około trzech kilometrów od śródmieścia
zbudowały dla nich osadę - kolonię dla emigrantów i robotników sezonowych.
Obóz dla robotników sezonowych składał się z 22 murowanych budynków z czterospadowymi
dachami oraz 90 drewnianych baraków, przeznaczonych dla 12 tysięcy osób poszukujących pracy.
Oczywiście był to obóz otwarty i nie ogrodzony!
Po zakończeniu I wojny pełnił różne funkcje.
Azylanci(uciekinierzy z Zaolzia) stworzyli tu sobie małą osadę ze szkołą, kaplicą, teatrem, klubem sportowym oraz związkiem strzeleckim.
Inny fragment obozu oddano Państwowemu Monopolowi Tytoniowemu.
Największą część zabudowań przejęło jednak Wojsko Polskie i urządziło tam koszary dla wojska.
http://i60.tinypic.com/112eqom.jpg
Kompleks baraków przetrwał do wybuchu wojny i zwrócił uwagę Niemców.
SS-mani uważali, że to dobre miejsce na obóz
"miejsce miało dobrą infrastrukturę, było uzbrojone, znajdowało się przy węźle kolejowym
oraz było łatwe do odizolowania od świata zewnętrznego".
Decyzja zapadła w kwietniu 1940 roku.
Natychmiast wysiedlono 1200 żyjących jeszcze na terenie osady przybyszy z Zaolzia
i Niemcy przystąpili do tworzenia niesławnego Konzentrationslager Auschwitz.
Przebudową tego miejsca w KL Auschwitz zajmowali się więźniowie.
Jeszcze przed pierwszym transportem, 14 czerwca 1940 roku, grupa więźniów przywieziona w tym celu z Dachau,
potem więźniowie Auschwitz i przymuszeni do tego okoliczni mieszkańcy Oświęcimia.
Źródło:
[ciekawostkihistoryczne.pl]
[ksiegarnia.pwn.pl]
Posté par: jean pierre (IP Loggée)
Date: 18 avril, 2015 21:17
ok j'aurais encore appris quelque chose ce soir.
Posté par: Vendôme (IP Loggée)
Date: 18 avril, 2015 21:42
Traduction à la demande de Lenka (...pauvre Jeannot !)
"La petite ville d'Oświęcim se situait à la frontière de la Galicie et de la Prusse.
Le tournant du XIXe et du XXe siècle est une période d'émigration massive des habitants de Galicie (actuelle Malopolska), à la recherche de meilleures conditions de vie.
Les déshérités des régions de Malopolska et de Podkarpackie (Bieszczady) ont cherché une vie meilleure en Amérique et en Europe Occidentale. Mais beaucoup ne pouvaient se permettre un aussi long voyage.
Ceux-là partaient travailler dans la Prusse voisine.
En cours de route il rencontraient le dernier bourg galicien avant la frontière : Oświęcim (oche-vien-tchim)
Bien évidemment, n'y avait pas en Prusse, suffisamment de travail pour tout le monde.
En conséquence, des milliers de sans-emplois s'agglutinaient à Oświęcim dans l'espoir et l'attente d'un travail, même à temps partiel.
Cette situation s'est aggravée lorsque le déclenchement de la Première Guerre mondiale à rendu impossible le retour chez eux de ces sans-abris.
Pour palier l'envahissement de la ville par tous ces chômeurs, les autorités locales ont décidé la construction, à 3 kilomètres de là, d'un hameau - une colonie, pour les migrants et les travailleurs saisonniers.
Le camp pour les travailleurs saisonniers se composait de 22 bâtiments en briques à quatre toits, ainsi que 90 baraques en bois conçues pour 12.000 demandeurs d'emploi. Bien évidemment ce camp était ouvert et non clôturé.
Après la Grande Guerre il a été utilisé à divers usages.
Ainsi, les demandeurs d'asile, réfugiés de Zaolzie < [en.wikipedia.org] > y créèrent un petit village avec une école, une chapelle, un théâtre, un club de sport et une association de tir.
Une autre parcelle du camp fut cédée au Monopole d'État des Tabacs.
Cependant, la majeure partie des bâtiments fut dévolue à l'Armée Polonaise, qui y organisa le casernement des militaires.
[image]
Le complexe de casernes à survécu jusqu'à l'éclatement de la Deuxième Guerre Mondiale et a attiré l'attention des Allemands. Les SS ont considéré que c'était là un bon endroit pour installer un camp (de concentration) - "l'endroit avait une bonne infrastructure, était bien défendu, situé à un carrefour ferroviaire, et était facile à isoler du monde extérieur".
La décision a été prise en Avril 1940.
Les 1.200 réfugiés restant de Zaolgie furent expulsés, et c'est ainsi que les Allemands ont commencé à créer l'infâme Konzentrationslager Auschwitz.
Le réaménagement de l'endroit en camp de concentration a été effectué par des prisonniers. Pour cela, bien avant le premier "transport", le 14 juin 1940, un groupe de prisonniers avait été amené de Dachau, puis se sont les prisonniers d'Auschwitz qui ont continué l'aménagement ainsi que les habitants d'Oswiecim réquisitionnés à cet effet.
Szanowna Pani Lenko, ja bym tego nie zrobil kazdego dnia! - Très estimée Madame Lenka, je ferais pas ça tous les jours !
Ale jak musi, to musi!
Posté par: Lenka (IP Loggée)
Date: 18 avril, 2015 21:50
Merci Monsieur Vendome !
Posté par: Vendôme (IP Loggée)
Date: 18 avril, 2015 21:55
Je profite de l'occasion pour réaffirmer que je ne fais plus de traductions, hormis pour les personnes participant à la vie de Beskid. Il y a trop de météores qui se pointent ici pour une traduction à moindre frais et qu'on ne revoit plus (... et ça, ça me gonfle)
Posté par: ubik83 (IP Loggée)
Date: 05 mai, 2015 23:33
Hello,
Personnellement, j'aurais voulu traiter du sujet des camps dans mon roman, mais c'était hélas formellement impossible, mes personnages faisant partie d'une branche SS qui n'a rien à voir avec les unité Totenkopf, qui elles étaient affectées aux camps. Donc, c'eût été hors sujet.
Mais ça m'intéresse tout de même. Alors si vous avez des infos, je les lirai volontiers. Eventuellement, si j'ai des choses à ajouter...
J'ai je crois une série documentaire assez fouillée sur Auschwitz, et je pense que je pourrais la poster, enfin, si on peut mettre des vidéos ici. Ou alors, je mets ça chez Youtube ou autres, et je vous passe les liens après ? J'ai vu ça une fois ou deux, c'est assez complet, enfin, ça me parait assez bien, mais je ne suis pas spécialiste des camps.
Dites-moi ce que vous en pensez...
A vous lire,
Posté par: alice63 (IP Loggée)
Date: 22 mai, 2015 23:04
Pour rajouter ma modeste pierre à l'édifice...il me semble que Chelmno(avec le L barré) fut le théâtre des 1ers gazages de masse,ils étaient gazés dans des camions.
Pour revenir à Auschwitz,il ne faut pas oublier également Auschwitz 3 qui était un camp de travail appelé Monowitz-Buna...
Posté par: niu-nia (IP Loggée)
Date: 23 mai, 2015 00:21
Exact alice...autant que je sache aussi !
Posté par: ubik83 (IP Loggée)
Date: 23 mai, 2015 12:19
... J'aurais voulu poster la série documentaire que j'ai sur Auschwitz ( au moins 6 parties si je me souviens bien, et réalisé par les Anglais sauf erreur ), mais voilà, je me suis fait déjà tacler par Youtube, car j'avais posté des films et ça n'avait pas plus aux grosses compagnies ( histoires de droits d'auteurs, etc ). Du coup, je ne peux mettre là-bas que des documents courts, et ça limite sérieusement. N'ayant rien de court à proposer, je n'ai plus rajouté quoi que ce soit, ni même suivi la question.
A moins que je puisse les mettre directement ici ? Quelqu'un sait ?
A propos des "traductions à moindre frais", je dois dire que, ça n'est pas exclus, il est possible que par la suite j'aie besoin d'aide dans ce domaine et, je dois l'avouer, je suis fauché, pas mal, même. La fréquentation du forum ? Eh bien là aussi, pour préciser ma position, je participe quand j'ai du nouveau, quelque chose à dire et hélas, ça n'est pas souvent ! En fait, plus j'avance dans mon roman, et moins je trouve de sources sur les sujets que je veux traiter, et donc alors qu'avant je traçais des autoroutes, maintenant je me faufile entre les buissons épineux.
Récemment, j'ai trouvé un Colonel de l'Armée Américaine qui écrit des choses assez pointues sur cette période, et il a sorti un bouquin que j'ai commandé, à propos du ghetto de Varsovie, j'espère y trouver ( tant bien que mal, ne pratiquant pas l'Anglais assez souvent ) des infos pertinentes. Du côté Allemand et Polonais, ne comprenant rien à ces langues, j'ai carrément renoncé. J'avais trouvé un livre en Allemand, je l'ai acheté, confié à un type qui disait pouvoir le traduire : il s'est barré avec, je ne l'ai jamais revu ! Donc, un poil dégoûté je suis, dirait Yoda.
Ledit Colonel m'a écrit un petit mot pour m'affirmer qu'il répondrait à mes questions bientôt. Espérons, l'espoir fait vivre.
Sur Auschwitz, on a pas mal de documentation, mais comme je ne peux pas le traiter dans mon livre, j'ai mis de côté tout ce qui concerne les camps. J'ai des références de bouquins si vous voulez - en Français - mais je me doute bien que vous pouvez les trouver tout aussi bien que moi.
Voilà, si quelqu'un sait pour les vidéos, je les mettrais volontiers ici, et là on verra si ceux qui parmi vous s'y connaissent, trouvent ou pas à redire, à compléter, etc.
En attendant, je reste avec mes questions sans réponses, concernant les trafics en tous genres et les gangsters sous l'Occupation, concernant les unités précises engagées dans la destruction du ghetto, idem sur l'insurrection de Varsovie ( quelles unités, qui a fait quoi, etc ), sur la retraite devant les Russes, et autres questions qui ne relèvent plus de la Pologne, mais concernent l'Allemagne ; là aussi, on est en plein brouillard...
A suivre. Merci s'il y a un retour.
Posté par: Bliski (IP Loggée)
Date: 24 mai, 2015 15:03
Monsieur ubik, le livre "les fenêtres d'or" d'Adolph Rudnicki relate
des "histoires réelles" se passant dans le ghetto et hors du ghetto de Varsovie, mais vous l'avez peut-être déjà lu.
Posté par: alice63 (IP Loggée)
Date: 24 mai, 2015 23:33
Pour les partages de vidéo,je ne suis pas très douée donc je ne serais d'aucune utilité...c'est dommage car ce doit être passionnant!!!
Pour l'écriture de votre livre,je pense qu'il faut du temps et donc accepter les hauts et les bas,c'est loin d'être facile mais je pense que la finalité n'en est que plus belle!!! Sur quoi est votre livre exactement? Si je peux aider,j'en serais heureuse!!! Courage et patience!!!
Je prépare également un roman donc je compatis....
Posté par: Mik (IP Loggée)
Date: 25 mai, 2015 07:43
Un début de réponse à ta question ici :
[www.klub-beskid.com]
Mik
Posté par: Malczewski (IP Loggée)
Date: 25 mai, 2015 21:23
Mais c'est en fait très bien expliqué sur le suite du musée, très bien fait, synthétique, simple, ludique.
C'est à chacun d"éteindre la télé et de se plonger dans les bouquins, c'est pas la littérature qui manque.
Mais bon, en France, 1 jeune sur deux pense que la bataille de Verdun, c'était la seconde guerre mondiale, alors...
Beaucoup en reste à une connaissance superficielle, par facilité ou par désintérêt. Mais de mon point de vue, c'est la banalisation de cet événement unique qui génère cette situation.
Posté par: alice63 (IP Loggée)
Date: 25 mai, 2015 22:34
Merci...j'avais manqué un train sur ce coup!!!
Posté par: alice63 (IP Loggée)
Date: 26 mai, 2015 14:26
Pour les einsatzgruppen vous avez un livre de Michael Prazan....
Posté par: Stéphane (IP Loggée)
Date: 28 mai, 2015 14:01
ubik83 a écrit:
-------------------------------------------------------
> ... J'aurais voulu poster la série documentaire
> que j'ai sur Auschwitz ( au moins 6 parties si je
> me souviens bien, et réalisé par les Anglais
> sauf erreur ), mais voilà, je me suis fait déjà
> tacler par Youtube, car j'avais posté des films
> et ça n'avait pas plus aux grosses compagnies (
> histoires de droits d'auteurs, etc ).
C'est un peu la même chose ici. Il est possible de poser ce que l'on veut mais s'il y a des droits d'auteur, je ne peux pas prendre le risque de me retrouver avec une plainte. A la limite poser ailleurs et mettre le lien ici ( et encore ... )
Posté par: ubik83 (IP Loggée)
Date: 04 juin, 2015 02:01
Coucou, un moment que je n'étais pas venu ici... Me donne l'occasion de vous lire plus, on va dire comme ça.
Merci pour l'info concernant le roman. Je verrai si je le trouve. Non, je n'ai pas tout lu, loin de là. Heureusement, du reste !
Sur quoi, mon roman ? L'histoire de comment on fabrique un loup à partir d'un agneau. Ou, comment Wolfgang, jeune Allemand rêveur, introverti, peu sûr de lui, va, sous l'influence de Franz son ami, entrer dans la Hitlerjunge, puis dans la SS, et finalement, se retrouver dans les Einsatzgruppen à tuer des innocents, "pour la grandeur de l'Allemagne"... Vaste sujet. Et je m'y perds un peu. Notamment dans tout ce qui concerne la seconde partie : la guerre, la Pologne, le ghetto, et pire encore : l'insurrection de Varsovie, la retraite, enfin, j'ai des questions bien précises et peu de réponses. Je crois les avoir recensées ici, quelque part.
Pour le reste eh bien je vous lis attentivement, quand je viens. A savoir, quand les ennuis de santé me lâchent un peu, m'oublient.
A suivre,
Ubik.
Posté par: ubik83 (IP Loggée)
Date: 04 juin, 2015 02:17
... Ah oui, sur Prazan :
J'ai, bien évidemment. Mais voilà :
Cela se passe en Ukraine, et à partir de 41. Donc pas vraiment exploitable pour moi, puisque mes personnages commettent leurs crimes en Pologne et à partir de 39.
Mais bon, le gros de mes difficultés n'est plus là. Il concerne surtout la révolte du ghetto, l'insurrection de Varsovie, et le rôle que sont censés jouer mes personnages lors de ces épisodes. J'aimerais savoir quoi dire, je ne peux passer ces événements sous silence.
A suivre...
Posté par: Stéphane (IP Loggée)
Date: 06 juin, 2015 02:37
ubik83 a écrit:
-------------------------------------------------------
>
> Mais bon, le gros de mes difficultés n'est plus
> là. Il concerne surtout la révolte du ghetto,
> l'insurrection de Varsovie, et le rôle que sont
> censés jouer mes personnages lors de ces
> épisodes. J'aimerais savoir quoi dire, je ne peux
> passer ces événements sous silence.
>
> A suivre...
Passer de la révolte du Ghetto à l'insurrection, je pense que ça doit être possible. Le personnage peut aussi changer d'unité .
Si on prend de l'autre coté l'histoire de Marek Edelman.
Dans le ghetto de Varsovie, il est affecté comme infirmier à l'Umschlagplatz, d'où partent les convois de déportation vers Treblinka. Il réussit à faire évader quelques Juifs, au moment des départ des convois5.
En 1942, il est l'un des fondateurs de la Żydowska Organizacja Bojowa (ŻOB, l'Organisation juive de combat), un des seconds de Mordechaj Anielewicz, un sioniste de gauche. Il prend part au soulèvement du ghetto de Varsovie. Après la mort d'Anielewicz le 8 mai, il en devient le commandant4. Les 220 résistants s'opposent ainsi avec des moyens dérisoires, mais une volonté farouche à plus de 2 000 Waffen SS pendant trois semaines. Seuls 40 survivront dont Edelman, réussissant à fuir par les égouts après que les Allemands auront mis le feu au ghetto4.
Il prend part l'année suivante aux combats de l'Insurrection de Varsovie en 1944. .....
Posté par: Zefir (IP Loggée)
Date: 06 juin, 2015 08:08
J'avais lu au début des années 2000 un entretien dans Rzeczpospolita dans lequel Marek Edelman considérait Anielewicz comme une tête brûlée, notamment pour avoir indirectement causé la mort de 300 Juifs qui auraient pu prendre part au soulèvement.
J'essaie de retrouver cet article que j'avais dû traduire à l'époque.
Posté par: Zefir (IP Loggée)
Date: 06 juin, 2015 21:15
ubik83 a écrit:
-------------------------------------------------------
> Coucou, un moment que je n'étais pas venu ici...
> Me donne l'occasion de vous lire plus, on va dire
> comme ça.
>
> Merci pour l'info concernant le roman. Je verrai
> si je le trouve. Non, je n'ai pas tout lu, loin de
> là. Heureusement, du reste !
>
> Sur quoi, mon roman ? L'histoire de comment on
> fabrique un loup à partir d'un agneau. Ou,
> comment Wolfgang, jeune Allemand rêveur,
> introverti, peu sûr de lui, va, sous l'influence
> de Franz son ami, entrer dans la Hitlerjunge, puis
> dans la SS, et finalement, se retrouver dans les
> Einsatzgruppen à tuer des innocents, "pour la
> grandeur de l'Allemagne"... Vaste sujet. Et je m'y
> perds un peu. Notamment dans tout ce qui concerne
> la seconde partie : la guerre, la Pologne, le
> ghetto, et pire encore : l'insurrection de
> Varsovie, la retraite, enfin, j'ai des questions
> bien précises et peu de réponses. Je crois les
> avoir recensées ici, quelque part.
>
> Pour le reste eh bien je vous lis attentivement,
> quand je viens. A savoir, quand les ennuis de
> santé me lâchent un peu, m'oublient.
>
> A suivre,
>
> Ubik.
A propos de Schaper
"Rzeczpospolita" du 19 avril 2002.
19.04.2002, AK
L'IPN a retrouvé le dirigeant ou l'instigateur de l'extermination des Juifs de Jedwabne
Hermann Schaper (91 ans), commissaire de la police criminelle du IIIe Reich et SS-Hauptsturmführer a été retrouvé par l'Institut de la Mémoire Nationale.
Il a été interrogé comme témoin dans l'enquête sur l'assassinat, le 10 Juillet 1941, de la population juive de Jedwabne.
Schaper était le commandant du détachement de la Gestapo, à qui est attribuée l'extermination des Juifs à l'été 1941 dans de district de Łomża, y compris Radziłów et Jedwabne.
«RZ» 1 septembre 2001
L'Einsatzkomando Zichenau SS-Schrötersburg (Ciechanów - Płock) reçut l'ordre d'effectuer le «nettoyage» dans le district de Łomża. Il s'agissait d'y assassiner la population juive.
La piste meurtrière des SS à l'été 1941 peut être reconstituée sur la base de deux documents allemands et les témoignages (membres de la SS et survivants juifs :
à la fin juin Wizna,
5 juillet Wąsosz,
7 Juillet Radziłów,
10 juillet Jedwabne,
en août Łomża et Tykocin,
4 septembre Rutka, outre, "l'action juive" de Borkowo et Zambrów.
La procédure pénale contre le commandant Schaper de l'Einsatzkomando Zichenau-Schrötersburg a été interrompue le 2 septembre 1965 en Allemagne pour manque de preuves.
Thomas Urban, "Wanted: Hermann Schaper"
Le 11 avril, Schaper a été interrogé par un procureur fédéral allemand sur la base d'une liste de questions, préliminaires à une enquête sur les crimes de Jedwabne et Radziłów.
Le procureur de la Direction générale de la Commission pour la poursuite des crimes contre la nation polonaise de Bialystok, Radoslaw Ignatiev, était également présent à l'audience.
Selon le communiqué de l'IPN, en réponse aux questions, Hermann Schaper, a déclaré:
- L'été 1941, je commandais le détachement de la Gestapo composé de10 à 15 personnes se déplaçant en véhicule particulier ou à motocyclette ; j'ajoute que le commando n'avait pas de camions.
Schaper a nié avoir porté à l'époque l'uniforme noir et la casquette à tête de mort et avoir donné des ordres à ses subordonnés sur le marché de Tykocin, comme l'a décrit le témoin Fehler.
Répondant à une autre question, Schaper a déclaré que son supérieur se nommait. Il s'est rappelé aussi le nom de Baumann, l'un des officiers de la Gestapo, avec qui il a servi en 1941.
Interrogé pour savoir si son commando au-delà de la traque des agents et la recherche de documents avait également d'autres tâches, il a répondu: "Nous n'avions pas d'autres responsabilités."
Sur la question de savoir ce qu'il savait des "'assassinat en masse des Juifs en juin - septembre 1941 dans la région de Łomża, il a déclaré "qu'il y a eu des actions sauvages des populations locales et de certaines unités". Il rajoute qu'il ignore de quelles unités il s'agit.
L'interrogé a soumis au procureur un certain nombre de certificats, parmi lesquels un certificat médical attestant l'incapacité de témoigner. L'audience a été interrompue, le médecin a déclaré que sa poursuite pourrait déclencher une crise cardiaque ou un AVC.
L'existence du Commando Schaper et sa relation avec l'extermination des Juifs du district de Łomża été confirmée par la découverte dans les archives de l'Allemand Ph. D.Edmund Dmitrov, directeur du Bureau de l'éducation publique de l'IPN à Bialystok. Schaper a été vu 7 Juillet 1941, dans Radziłów ; il a été reconnu sur des photos par Chaya Finkelstein. Il a également été remarqué à la fin août, lors de l'extermination des Juifs de Tykocin, comme en témoigne Izchak Fehler. Les deux témoins israéliens ont déclaré que "Schaper leur a donné l'impression "d'être le meneur de ''l'extermination des Juifs."
"Rz" du 1er septembre 2001a publié l'article de Thomas Urban, la source la plus complète sur Schaper en Pologne.
Tout le monde pensait que Schaper était mort.
Sur demande de l'IPN, le procureur général de RFA et de la Centrale de recherches sur les crimes nationaux-socialistes de Ludwigsburg a effectué des recherches.
Au bout de trois mois, grâce à la police, on a réussi à repérer son lieu de résidence.
L'audition de Schaper, qui a confirmé l'existence du Commando tout en niant sa participation aux assassinats des Juifs de Jedwabne et Radzilów est très importante au point de vue des aveux et de la procédure.
Schaper fut le 19ème témoin auditionné dans l'affaire sur Jedwabne.
Andrzej Kaczyński
19.04.2002
Des doutes subsisteront aussi longtemps que les noms des personnes ayant participé à ce crime ne seront pas connus. Le seul élément est la déclaration des témoins juifs tels Wasersztajn, Finkelsztajn, Grądowski, qui ne furent pas présents au moment des faits.
Gross a déterminé à 1600 le nombre de victimes, non confirmé par les exhumations ; au cours de celles-ci, il a été retrouvé des douilles de fusils allemands et d'armes individuelles d'officiers. L'IPN a beaucoup reçu de détails du Centre allemand de documentation des crimes nazis à Ludwigsburg.
Il y a 50 ans, les experts de Ludwigsburg ont constaté que sous le commandement du SS Hauptsturmführer Hermann Schaper, l'Einsatzkomando a réalisé dans au moins six villes de la région de Łomża, de fin juin à début septembre 1941, 6 "actions de liquidation de Juifs", à partir de fin juin à début septembre 1941. Des services israéliens ont de leur côté reconstitué l'itinéraire des assassins SS.
crise cardiaque ou un AVC.
L'existence du Commando Schaper et sa relation avec l'extermination des Juifs du district de Łomża été confirmée par la découverte dans les archives de l'Allemand Ph. D.Edmund Dmitrov, directeur du Bureau de l'éducation publique de l'IPN à Bialystok. Schaper a été vu le 7 Juillet 1941, dans Radziłów ; il a été reconnu sur des photos par Chaya Finkelstein. Il a également été remarqué à la fin août, lors de l'extermination des Juifs de Tykocin, comme en témoigne Izchak Fehler. Les deux témoins israéliens ont déclaré que "Schaper leur a donné l'impression "d'être le meneur de 'l'extermination des Juifs."
"Rz" du 1er septembre 2001a publié l'article de Thomas Urban, la source la plus complète sur Schaper en Pologne.
Tout le monde pensait que Schaper était mort.
Sur demande de l'IPN, le procureu général de RFA et de la Centrale de recherches sur les crimes nationaux-socialistes de Ludwigsburg a effectué des recherches.
Au bout de trois mois, grâce à la police, on a réussi à repérer son lieu de résidence.
L'audition de Schaper, qui a confirmé l'existence du Commando tout en niant sa participation aux assassinats des Juifs de Jedwabne et Radzilów est très importante au point de vue des aveux et de la procédure.
Schaper fut le 19ème témoin auditionné dans l'affaire sur Jedwabne.
Andrzej Kaczyński
19.04.2002
Posté par: trepanowski (IP Loggée)
Date: 01 juillet, 2015 11:07
Bonjour,
Je suis nouvelle sur le forum, il est donc possible que je pose une question qui n'aurait pas lieu d'être ici...
Est-ce qu'à votre avis ou à votre connaissance, il serait possible de trouver quelque part la liste des personnes qui ont été tuées lors de ces événements à Wizna ?
Posté par: Zefir (IP Loggée)
Date: 02 juillet, 2015 23:55
Si un nom vous intéresse, traduction possible
Strona główna » Kultura » Zachować Pamięć » Lista masowych ofiar egzekucji
Imienna lista ofiar masowych egzekucji
Imienna lista ofiar masowych egzekucji
popełnionych przez okupantów hitlerowskich
na terenie powiatu łomżyńskiego.
Lista obejmuje jedynie Polaków (z uwagi na trudności w uzyskaniu odpowiedniej dokumentacji pominięto w niej ofiary innych narodowości jak Rosjanie, Ukraińcy, czy Żydzi),straconych wyłącznie w egzekucjach masowych, to jest takich, w których zginęło co najmniej 10 osób. Na Ziemi Łomżyńskiej ( obszar byłego województwa łomżyńskiego) hitlerowscy okupanci dokonali, w roku 1939 i latach 1941-1945, 62 egzekucji masowych w 43 miejscowościach. Straciło w nich życie łącznie ok. 15.000 osób. Liczba ta jest liczbą przybliżoną, ponieważ w wielu przypadkach natrafia się w dokumentach na określenia ,,kilkunastu", ,, kilkuset", a nawet ,, kilka tysięcy". Spośród wszystkich ofiar tylko 1.499 znane są co najmniej z nazwiska, ale tylko 952 jest zweryfikowanych, a więc istnieje całkowita pewność co do tego kiedy i gdzie zginęli. Na podstawie zachowanych dokumentów a także innych źródeł udało się także ustalić niekiedy więcej informacji o ofiarach ( miejsce zamieszkania, zawód, stan rodzinny itp.).Niestety, większość ofiar – to ofiary bezimienne.
Podana tu lista jest jedynie częścią listy obejmującej wszystkie ofiary Ziemi Łomżyńskiej i wymienia tych, którzy zginęli w egzekucjach masowych na terenie obecnego powiatu łomżyńskiego, a więc w miejscowościach należących do gmin: Łomża, Jedwabne, Nowogród, Piątnica i Wizna.
Identyfikacja ofiar oparta została na wiarygodnych materiałach źródłowych, będących załącznikami do pracy Jerzego Smurzyńskiego pt. ,,Masowe zbrodnie hitlerowskie popełnione w 1939 r. i w latach 1941-1945 na Ziemi Łomżyńskiej", przekazanej do Biblioteki IPN w Warszawie, za potwierdzeniem Nr AR/411/33/95 z dnia 18 stycznia 1996 roku.
Informacja dotycząca każdej z ofiar podaje, w miarę możliwości: Nazwisko, imię, datę urodzenia lub wiek, informacje dodatkowe ( ostatnie miejsce zamieszkania, powiązania rodzinne – były bowiem przypadki, że w egzekucji ginęły całe rodziny, zawód itp.), podstawę umieszczenia na liście (sygnaturę dokumentu), datę egzekucji i miejscowość.
Skróty przyjęte w tym opracowaniu:
AAN – Archiwum Akt Nowych w Warszawie
AGK – Archiwum Głównej Komisji Badania Zbrodni przeciwko Narodowi Polskiemu w Warszawie
Rejestr – Rejestr miejsc i faktów zbrodni popełnionych przez okupanta hitlerowskiego na ziemiach polskich w latach 1939-1945, GKBZH w Polsce, IPN w Warszawie – informacja wewnętrzna Nr 66/23
DW – dokument stanowiący wyłącznie załącznik do w/w pracy J. Smurzyńskiego ( np. ankiety własne, wspomnienia rodzin ofiar, akta urodzenia, dokumentu gminne itp.)
- Aniołkowska, pensjonariuszka domu starców z Pieniek Borowych, AGK - ASG-W-794 str. 73-75 – lipec 1942 r, Jeziorko
- Arkuszewska Maria, z więzienia w Łomży, AAN 202/III-120 s.10 – 29/30 czerwiec 1943 r, Jeziorko
-Bagiński Józef – jak wyżej
-Banach Janina, lat 37, nauczycielka, żona Pawła z Zambrowa, AGK - W-646 t.II str.60-62, DW-17 – 23 lipca 1943 r, Sławiec
- Banach Teresa, lat 15, córka Pawła i Janiny – jak wyżej
- Banach Paweł, lat 38, nauczyciel – jak wyżej
-Barański Kazimierz, lat ok.70, emeryt, prac. umysłowy, AGK - SWWW-758, DW 9-14 – 15 lipca 1943 r Jeziorko
- Bąkowski Zygmunt, lat 40, rolnik, AGK - W-681 str. 3-5 – lipiec 1941 r . Giełczyn
- Bednarczyk Paulin, lat ok. 50, rolnik, AGK - W-646 t.I str.47-48 i W-646 t.II str.72-73 – 1 listopada 1943 r. Kałęczyn
- Bednarczyk Bronisława, lat 47, żona Paulina – jak wyżej
- Bednarczyk Teresa, lat 17, córka Paulina i Bronisławy – jak wyżej
- Bednarczyk Zofia, lat 11, córka – jak wyżej
- Bednarczyk Teodor, lat 14, syn – jak wyżej
- Bednarczyk Jerzy, lat 13, syn – jak wyżej
- Bednarczyk Michał, lat 23, młynarz, syn – jak wyżej
- Bednarczyk Stefania, lat 25, żona Michała – jak wyżej
- Bednarczyk (brak imienia) lat ok.1, córka Michała i Stefanii – jak wyżej
- Bianko Franciszek, lat 48, sierżant WP z Zambrowa, AGK - W-646 t.II str.60-62, DW-17 – 23 lipca 1943 r, Sławiec
- Bielak Jerzy z więzienia w Łomży, AAN 202/III-120 s.10 – 29/30 czerwiec 1943 r, Jeziorko
- Bielecki Antoni, AGK - W-794 t.IV. str.14-16 – lato 1942 r. Pniewo
- Borawska Justyna, ur. w 1899 r. w Rutkach, rolniczka, AGK - ASG t.2 str. 164, DW-34 – 31 grudnia 1944 roku, Nieławice
- Borawska Maria, lat ok.23, żona Józefa – organisty, AGK - SWWW-758 str.35, DW-9-14 – 15 lipca 1943 r. Jeziorko
- Borawska Róża, 1 rok 8 m-cy, córka Józefa i Marii – jak wyżej
- Borawski Czesław, ur w 1930 r w Rutkach – AGK - ASG t.2 str. 164, DW-34 – 31 grudnia 1944 r. Nieławice
- Borawski Henryk, ur. w 1925 r w Nieławicach – jak wyżej
- Borawski Hieronim, ur w 1925 r w Nieławicach, syn Aleksandra i Salomei , rolnik, akt zgonu USC Wizna Nr 91/45 – 31 grudnia 1944 r. Nieławice
- Borawski Józef, lat 63, felczer z Zambrowa, AGK - W-646 t.II str.60-62, DW-17 – 23 lipca 1943 r Sławiec
- Borawski Józef, ur.29.IV.1917 r. syn Ignacego i Józefy, organista, AGK - SWWW-758 str.35, DW-9-14 – 15 lipca 1943 r. Jeziorko
- Borawski Tadeusz, ur. 15.V.1925 r., brat Józefa – jak wyżej
- Borawski Tadeusz, lat 36, syn Józefa, urzędnik z Zambrowa, AGK - W-646 t.II str.60-62, DW-17 – 23 lipca 1943 r Sławiec
- Borow-Borowski Leon, lat 44, rusznikarz, AGK - W-681 str. 71-73 – lipiec 1941 r, Giełczyn
- Borowski Stanisław, lat 46, szewc, AGK - W-681 str. 111-113 – rok 1944, Giełczyn
- Bronakowska Anna, rolniczka, AGK - W –760 str.258-261, DW-75 – 2 sierpnia 1943 r, Przestrzele Bronakowski Józef, rolnik – jak wyżej
- Brzostowska Helena, z d. Koźlarzewska ur. w 1906 r w Siestrzanach, rolniczka, AGK - ASG t.2 str. 164, DW-34 –31 grudnia 1944 r. Nieławice
- Brzostowski Henryk, ur w 1933 r w Nieławicach, syn Władysława i Heleny – jak wyżej
- Brzostowska Irena, ur w 1939 r w Nieławicach, córka – jak wyżej
- Brzostowski Jerzy, ur w 1935 r w Nieławicach, syn – jak wyżej
- Brzostowski Wiesław, ur w 1939 r w Nieławicach – jak wyżej
- Brzostowski Władysław, ur w 1943 r w Nieławicach – jak wyżej
- Brzostowski Zenon, ur w 1937 r. w Nieławicach – jak wyżej
- Buczkowski Jan, lat 37, robotnik w tartaku, AGK - W-681 str. 71-73 – lipiec 1941 r, Giełczyn
- Budziszewski Czesław, z więzienia w Łomży, AAN 202/III-120 s.10 – 29/30 czerwca 1943 r, Jeziorko
- Chrzanowska Leokadia, ur. 10.X.1924 r w Łomży, córka Władysława i Anny, akt zgonu USC Łomża Nr 193/58 – 15 lipca 1943 r. Jeziorko
- Chrzanowski Czesław, lat 30, rolnik, pełnił obowiązki wójta, brat Leokadii, AGK - SWWW-758 str.35, DW- 9-14 – 15 lipca 1943 r. Jeziorko
- Cwalińska Anna, z d. Rostkowska ur. w 1896 r. w Rutkach, rolniczka, AGK - ASG t.2 str.164, DW-34- 31 grudnia 1944 r, Nieławice
- Cwaliński Stanisław, ur w 1922 r w Rutkach, syn Juliana i Anny, rolnik – jak wyżej
- Czajka Jan, lat 25, z Wizny, AGK - ASG t.2 str.170, DW-75 – 1941-1942 r, Przestrzele Czartoszewski Jerzy, lat 18, syn Jana i Janiny z Zambrowa, AGK - W-646 t.II str.60-62, DW-17 – 23 lipca 1943 r Sławiec
- Czołomiej Antoni, z więzienia w Łomży, AAN 202/III-120 s.10 – 29/30 czerwca 1943 r, Jeziorko
- Daniszewski Jan, lat 34, rolnik, w latach 1940-41 milicjant w Szumowie, AGK - S-127/68 – lipiec 1941, Giełczyn
- Dmochowski Władysław, z więzienia w Łomży, AAN 202/III-120 s.10 – 29/30 czerwca 1943 r, Jeziorko
- Domurat Aleksandra, ur w 1876 r. w Wiźnie, rolniczka, AGK - ASG t.2 str. 164, DW-34 – 31 grudnia 1944 r, Nieławice
- Domurat Stanisław, z Wizny, AGK - ASG t.2 str.170, DW-75 – 1941-1942 r, Przestrzele
- Domurat Wiesława, ur. w 1939 r w Rutkach, córka Franciszka i Wandy , AGK - ASG t.2 str. 164, DW-34 – 31 grudnia 1944 r, Nieławice
- Dmochowski Władysław, z więzienia w Łomży, AAN 202/III-120 s.10 – 29/30 czerwca 1943 r, Jeziorko
- Dynowska Janina, z d. Skibińska, ociemniała, AGK - SWWW-758 str.35, DW- 9 –14 – 15 lipca 1943 r. Jeziorko
- Dzierzgowski Stanisław, lat 37, rolnik, Rejestr str.52 – lipiec 1941 r. Giełczyn
- Ekstowicz Józef, lat 47, ur w Samborach, syn Józefa, rolnik, AGK - ASG t.2 str. 163, DW-35 – 4 lipca 1944 r, Boguszki
- Figurska Helena, z d. Morawska ur. w 1895 r w Pułtusku, córka Jana i Marii, żona Piotra, akt zgonu USC Łomża Nr 54/56 – 15 lipca 1943 r. Jeziorko
- Figurska Janina, ur. w 1923 r w Ostrołęce, córka Piotra i Heleny, urzędniczka, akt zgonu USC Łomża Nr 53/56 – jak wyżej
- Figurska Regina, ur. w 1928 r w Bożejewie, córka Piotra i Heleny, akt zgonu USC Łomża Nr 55/56 – jak wyżej
- Figurski Piotr, ur. w 1890 r w Plecechowie, syn Ignacego i Rozalii, urzędnik akcyzy, akt zgonu USC Łomża Nr 52/56 – jak wyżej
- Gawryś Karol, lat 32, szewc, członek KPP, w latach 1939-1941 funkcjonariusz milicji, Rejestr str.52 – lipiec 1941 r. Giełczyn
- Giejsztowt Witold, lat 54, inżynier, AGK - ASG t.2 str.183 – 18 września 1943 r. Pniewo
- Głębocka Genowefa (prawdopodobnie) ,,Gienia" – łączniczka AK z Warszawy, AGK W-794 t.IV. str. 14-16 – lato 1942 r. Pniewo
- Godlewski Stanisław, z więzienia w Łomży, AAN 202/III-120 s.10 – 29/30 czerwca 1943 r. Jeziorko
- Godlewski Władysław – jak wyżej
- Golalowski Jan– jak wyżej
- Golarski Antoni – jak wyżej
- Gorzoch Stanisław, lat 23, handlowiec, AGK - ASG t.2 str.183 – 18 września 1943 r. Pniewo
- Górski Zygmunt, lat 35, robotnik w tartaku, AGK - W-681 str. 60-61 – lipiec 1941 r. Giełczyn Gregorek Stanisław, lat 39, w latach 1939-1941 działacz partyjny – jak wyżej
- Grosman Adolf z więzienia w Łomży, AAN 202/III-120 s.10 – 29/30 czerwca 1943 r, Jeziorko
- Gumiężny Jan – jak wyżej
- Heichenbach Antoni – jak wyżej
- Hojak Irena, z d. Szczecińska, lat 29, nauczycielka, żona Kazimierza, AGK - SWWW-758 str.35, DW-9-14 – 15 lipca 1943 r. Jeziorko
- Hojak Kazimierz, lat 39, nauczyciel – jak wyżej
- Hojak Wiesław, lat 4, syn Kazimierza i Ireny – jak wyżej
- Hryniewiecka Antonina, ur. 13.VI.1889 w Suwałkach, nauczycielka, żona Józefa – jak wyżej
- Hryniewiecki Józef, ur. 19.III.1884 r w Burzynie, nauczyciel – jak wyżej
- Hykach Hieronim z więzienia w Łomży, AAN 202/III-120 s.10 – 29/30 czerwca 1943 r. Jeziorko
- Ignatowicz Józef – jak wyżej
- Ignatowicz Zofia – jak wyżej
- Jankiewicz, lat ok. 70, z domu starców w Pieńkach Borowych, AGK - ASG-W-794 str. 73-75 – lipiec 1942 r. Jeziorko
- Jarząbek Adam, lat 39, krawiec, z Zambrowa, AGK - W-646 t.II str.60-62, DW-17 – 23 lipca 1943 r. Sławiec
- Jastrzębski Marian, lat 19, z Zambrowa – jak wyżej
- Jastrzębski Stefan, lat 26, kupiec z Zambrowa – jak wyżej
- Jensz Tadeusz, lat 30, AGK - ASG t.2. str.183 – 18 września 1943 r. Pniewo
- Jenszówna Janina, lat 28 – jak wyżej
- Jenszówna Zofia, lat 34, nauczycielka – jak wyżej
- Jończyk Stefan, lat 32, nauczyciel z Zambrowa, A GK - W-646 t.II str.60-62, DW-17 – 23 lipca 1943 r Sławiec
- Kadłubowska Zofia, z d. Dąbrowska lat 52 ur. w Żelechach, córka Aleksandra i Marianny, żona Wacława, akt zgonu USC Wizna Nr 112/45 – 31 grudnia 1944 r. Nieławice
- Kalinowski Franciszek, ur. w 1896 r w Wiźnie, rolnik-kowal, AGK - ASG t.2 str.164, DW-34 – jak wyżej
- Kalinowski Józef, lat 45, AGK - ASG t.2 str.170, DW-75 – 1941-1942 . Przestrzele
- Kamiński, lat ok. 70, z domu starców w Pieńkach Borowych, AGK - ASG-W-794 str. 73-75, lipiec 1942 r. Jeziorko
- Karwowski Aleksander, lat 72, ur. w Boguszkach, rolnik, AGK - ASG t.2 str. 163, DW-35 – 4 lipca 1944 r. Boguszki
- Karwowski Bolesław, lat 22, ur. w Boguszkach, syn Franciszka, rzeźnik – jak wyżej
- Karwowski Franciszek, lat 54, ur. w Boguszkach, syn Kryspina, rolnik – jak wyżej
- Karwowski Franciszek, lat 23, syn Franciszka, piekarz – jak wyżej
- Kirył Julian , AGK - W-794 t.IV. str. 14-16 – lato 1942 r. Pniewo
- Kocorowski Piotr, z więzienia w Łomży, AAN 202/III-120 s.10 – 29/30 czerwca 1943 r. Jeziorko
- Komornicka Anna-Maria, ur.31.I.1938 r w Łomży, córka Tadeusza i Ireny, akt zgonu USC w Łomży Nr 152/49 – 15 lipca 1943 r Jeziorko
- Komornicka Irena, z d. Dynowska, córka Tadeusza i Janiny, żona Tadeusza, w ciąży, akt zgonu USC w Łomży Nr 153/49 – jak wyżej
- Komornicka Zofia-Teresa, ur.26.VI.1941 r w Łomży, córka Tadeusza i Ireny, akt zgonu USC w Łomży Nr 151./49 – jak wyżej
- Komornicki Adam-Józef, ur. 2.XII.1934 r w Warszawie, syn Tadeusza i Ireny, akt zgonu USC w Łomży Nr 150/49 – jak wyżej
- Komornicki Tadeusz-Urban, ur. 6.IX.1901 r w Pyzdrach, syn Stanisława-Karola i Marii, adwokat, mąż Ireny, akt zgonu USC w Łomży Nr 149/49 – jak wyżej
- Kordaszewska Helena, lat 52 z d. Barańska, żona Józefa, AGK - SWWW-758 str.35, DW – 9-14 – jak wyżej
- Kordaszewski Józef, lat 54, obrońca sadowy, mąż Heleny – jak wyżej
- Korytkowski Aleksander, lat 26, AGK - S-127/68 – rok 1944, Giełczyn
- Kosakowski Antoni, lat 20 ze wsi Mocarze, AGK - ASG t.2 str.170, DW-75 – 1941-1942 r.Przestrzele
- Kosakowski Józef, lat 57 – jak wyżej
- Kościelecki Jan, lat 25, zamieszkały w Budach Czarnockich , AGK - ASG t.2 str. 163, DW-35 – 4 lipca 1944 r, Boguszki
- Kownacki Eugeniusz, lat 35. ur w Kozłówku, rolnik – jak wyżej
- Kozłowski Tomasz z więzienia w Łomży, AAN 202/III-120 s.10 – 29/30 czerwca 1943 r, Jeziorko
- Krajewski Jan, z Wizny AGK - ASG t.2 str.170, DW-75 – 1941-1942 r.Przestrzele
- Kramczyński Stefan, lat 31,sekretarz magistratu w Wysokiem Mazowieckiem, AGK - W-646 t.II.str.60-62, DW-17 – 23 lipca 1943 r. Sławiec
- Krawczyk Stanisław, z więzienia w Łomży, AAN 202/III-120 s.10 – 29/30 czerwca 1943 r, Jeziorko
- Kuczyńska, lat ok. 60, z domu starców w Pieńkach Borowych, AGK - ASG-W-794 str. 73-75 – lipiec 1942 r, Jeziorko
- Kulesza Zygmunt, ur. w 1900 r w Zambrowie, syn Wojciecha i Doroty, st. sierżant WP, AGK - W-646 t.II.str.60-62, DW-17 – 23 lipca 1943 r. Sławiec
- Kurzyna Henryk, lat 32. ur w Boguszkach, rolnik , AGK - ASG t.2 str. 163, DW-35 – 4 lipca 1944 r. Boguszki
- Lichtańska Eulalia, lat 17, córka Jadwigi, AGK - ASG t.2 str. 183 – 18 września 1943 r. Pniewo
- Lichtańska Jadwiga, lat 43 – jak wyżej
- Lipińska Zofia, lat ok. 70 z domu starców w Pieńkach Borowych, AGK - ASG-W-794 str. 73-75 – lipiec 1942 r. Jeziorko
- Literewska Jadwiga, ur. w 1938 r, dziecko, przybyło z okolic Rakowa gm. Drozdowo, AGK–ASG t.2 str.164, DW-34 – 31 grudnia 1944 r, Nieławice
- Lierewska Janina, ur. w 1931 r – jak wyżej
- Literewski Tadeusz, ur w 1939 r – jak wyżej
- Lubowicka Maria, lat 65, nauczycielka, AGK - SWWW-758 str.35, DW – 9-14 – 15 lipca 1943 r.Jeziorko
- Lubowicka Zofia, lat 20, córka Aleksandra i Marii – jak wyżej
- Lubowicki Aleksander, lat 70, emerytowany nauczyciel gimnazjalny – jak wyżej
- Łopuszyńska, z domu starców w Pieńkach Borowych, AGK - ASG-W-794 str. 73-75 – lipiec 1942 ., Jeziorko
- Łoszewski Julian-Aleksander, z Janczewa, AGK - ASG t.2 str.170, DW-74 – 1941-1942 r. Przestrzele
Łupiński Bolesław, lat 40, naczelnik poczty w Zambrowie, AGK - W-646 t.II str. 60-62, DW-17 – 23 lipca 1943 r. Sławiec
- Markowski Hieronim, lat 21 AGK - ASG t.2 str.170, DW-74 – 1941-1942 r, Przestrzele
- Michalik Marcin, z więzienia w Łomży, AAN 202/III-120 s.10 – 29/30 czerwca 1943 r, Jeziorko
- Michałowska Barbara, lat 35, farmaceutka z Zambrowa, AGK - W-646 t.II.str.60-62, DW-17 – 23 lipca 1943 r. Sławiec
- Mioduszewski Wacław, lat 30, robotnik z Warszawy – jak wyżej
- Mocarski Bolesław, lat 42 ur. w Męczkach, syn Stefana i Balbiny, rolnik. Akt zgonu USC Wizna Nr 187/45 – 31 grudnia 1944, Nieławice
- Mocarski Jan, lat 50, ur. w Męczkach syn jw. Akt zgonu USC Wizna Nr 182/45 – jak wyżej
- Mocarska Jadwiga, z d. Boryszewska, lat 35 ur. w Męczkach, córka Józefa i Antoniny, akt zgonu USC Wizna Nr 183/45 – jak wyżej
- Mocarski Czesław, lat 14 ur. w Męczkach, syn Jana i Jadwigi, akt zgonu USC Wizna Nr 184/45 – jak wyżej
- Mocarska Jadwiga, lat 5 ur. w Męczkach, córka jw, akt zgonu USC Wizna Nr 186/45 – jak wyżej
- Mocarska Zofia, lat 7 ur. w Męczkach, córka jw., akt zgonu USC Wizna Nr 185/45 – jak wyżej
- Modzelewska Stanisława, z więzienia w Łomży, AAN 202/III-120 s.10 – 29/30 czerwca 1943 r, Jeziorko
Mogielniccy – dwie osoby z rodziny Mogielickich, bez jakichkolwiek bliższych danych, wpisane na listę ofiar Jeziorka poleceniem prokuratora Tomasza Kamińskiego z IPN w Białymstoku, potwierdzonego 2 grudnia 2005 r postanowieniem Sądu Okręgowego II Wydziału Karnego w Łomży – 15 lipca 1943 r. Jeziorko
- Monkiewicz, lat ok. 70, z domu starców w Pieńkach Borowych, AGK - ASG-W-794 str. 73-75 – lipiec 1942 r. Jeziorko
- Monkiewiczowa , lat ok. 60 – jak wyżej
Mościcka Władysława, ur.14.08.1905 r. AGK - W-760 str.258-261, DW-75 – 2 sierpnia 1943 r. Przestrzele
- Mościcki Franciszek, ur. 2.04.1902 r – jak wyżej
- Mroczkowski Edward, z więzienia w Łomży, AAN 202/III-120 s.10 – 29/30 czerwca 1943 r.Jeziorko
- Mystkowska Marcela – jak wyżej
- Najda Wincenty – jak wyżej
- Napiórkowski Jan, ur. w 1900 r w Nieławicach, syn Antoniego i Walentyny, rolnik, akt zgonu USC Wizna Nr 35/45 – 31 grudnia 1944 r, Nieławice
- Napiórkowska Władysława, z d. Wysocka, lat 44, córka Leopolda i Marianny, żona Jana, akt zgonu USC Wizna Nr 36/45 – jak wyżej
- Napiórkowska Eugenia, lat 12, ur. w Nieławicach, córka Jana i Władysławy, akt zgonu USC Wizna Nr 38/45 – jak wyżej
- Napiórkowski Kazimierz, lat 8, jw. akt zgonu USC Wizna Nr 38/45 – jak wyżej
- Napiórkowski Stefan, lat 40 (brak bliższych danych)– jak wyżej
- Nieciecki Czesław, lat 35. ur. i zamieszkały w Bartkach , AGK - ASG t.2 str. 163, DW-35 – 4 lipca 1944 r, Boguszki
- Niedzielski Jan, z więzienia w Łomży, AAN 202/III-120 s.10 – 29/30 czerwca 1943 r,Jeziorko
- Nowacki Franciszek, lat 45, sierżant WP,z Wysokiego Mazowieckiego, AGK - W-646 t.II str.60-62, DW-17 – 23 lipca 1943 r Sławiec
- Nowakowska Helena, lat 21, AGK - ASG t.2 str. 183 – 18 września 1943 r. Pniewo
- Nowakowski Stanisław, lat 27, elektryk z Łomży – jak wyżej
- Nowowiejski Jan, lat 32, felczer z Zambrowa , AGK - W-646 t.II str.60-62, DW-17 – 23 lipca 1943 r Sławiec
- Nowowiejski Lucjan, ur. 15.09.1914 r w Jabłonce-Świerszczewo, syn Kajetana i Leontyny, lekarz weterynarii w Wysokiem Mazowieckiem – jak wyżej
- Okurowski Jan, lat 40, ur. w Nieławicach, syn Jana i Józefy, rolnik, akt zgonu USC Wizna Nr 79/45 – 31 grudnia 1944 r. Nieławice
- Orłowski Bronisław, lat 28 ur. w Boguszkach, rolnik , AGK - ASG t.2 str. 163, DW-35 – 4 lipca 1944 r., Boguszki
- Osiecka Helena, z d. Okurowska, ur. 31.III.1916 r w Wołeczkowicach w guberni Mińskiej, córka Józefa i Stefanii, rolniczka, akt zgonu USC Wizna Nr 78/45 – 31 grudnia 1944 . Nieławice
- Pacuszka Stanisław, z więzienia w Łomży, AAN 202/III-120 s.10 – 29/30 czerwca 1943 r.Jeziorko
- Pianko Aleksander, ur. w 1904 r w Wiźnie, rolnik, AGK - ASG t.2 str. 164, DW-34 – 31 grudnia 1944r. Nieławice
- Pianko Anna, ur. w 1914 r we Włochówce, żona Aleksandra – jak wyżej
- Pianko Jadwiga, ur. w 1937 r w Wiźnie, córka Aleksandra i Anny – jak wyżej
- Pianko Tadeusz, ur. w 1941 r. syn – jak wyżej
- Pianko Zofia, ur. w 1933 r. córka – jak wyżej
- Pieczyński Bolesław, z więzienia w Łomży, AAN 202/III-120 s.10 – 29/30 czerwca 1943 r. Jeziorko
- Pierśniak Antonina, lat 50, nauczycielka, żona ,Jana z Zambrowa, AGK - W-646 t.II str.60-62, DW-17 – 23 lipca 1943 r Sławiec
- Pierśniak Jan, lat 56, urzędnik z Zambrowa – jak wyżej
- Pierśniak Tadeusz, lat 17, syn Jana i Antoniny – jak wyżej
- Pietuch Jerzy, uczeń z Grodna, , AGK - W-794 t.IV. str. 14-16 – lato 1942 r. Pniewo
- Piszyńska Zofia, z więzienia w Łomży, AAN 202/III-120 s.10 – 29/30 czerwca 1943r. Jeziorko
- Plachcinski Kazimierz – jak wyżej
- Plackowski Stefan – jak wyżej
- Plicki Józef – jak wyżej
- Plotczyk Wacław – jak wyżej
- Pogroszewski Tadeusz, lat 30, robotnik z Zambrowa, AGK - W-646 t.II str.60-62, DW-17 – 23 lipca 1943 r Sławiec
- Popiel Maria, lat 58 , AGK - ASG t.2 str. 183 – 18 września 1943 r. Pniewo
- Popiel Stanisław, lat 56, inżynier – jak wyżej
- Popow Dionid, nauczyciel z m. Korytki, AGK - SWWW-758 str.308-309 – 23 lipca 1943 r. Sławiec
- Popow Dominik, lat 33, sierżant WP w Wysokiem Mazowieckiem, AGK - W-646 t.II str.60-62, DW-17 – 23 lipca 1943 r Sławiec
- Próchnicka Natalia, (brak bliższych danych), AGK - SWWW-758 str. 35, DW – 9-14 – 15 lipca 1943 r. Jeziorko
- Próchnicka Danuta, jak wyżej
- Próchnicka Janina, jak wyżej
- Próchnicka Mirosława, jak wyżej
- Próchnicki Cezary, jak wyżej
- Próchnicki Jan, jak wyżej
- Próchnicki Jerzy, jak wyżej
- Próchnicki Krzysztof, jak wyżej
- Próchnicki Tadeusz, jak wyżej
- Próchnicki Zbigniew, jak wyżej
- Przestrzelski (brak imienia), z Janczewa, AGK - ASG t.2 str.170, DW-75 – 1941-1942, Przestrzele
- Rajmontowicz Aleksander, lat 36, szewc, Rejestr str.53 – lipiec 1941 r. Giełczyn
- Romatowska Zuzanna, z d. Bednarczyk, lat ok. 19, żona Franciszka, AGK - W-646 t.I str.47-48 i W-646 t.II str.72-73 – 1 listopada 1943 r. Kałęczyn
- Romatowski Franciszek, lat 23, rzeźnik, mąż Zuzanny – jak wyżej
- Romatowski Franciszek, lat ok.1,5, syn Franciszka i Zuzanny – jak wyżej
- Romatowski Bronisław,lat 37, rolnik z Janczewa, AGK - ASG t.2 str.170, DW-75 – 1941-1942, Przestrzele
- Roszkowski Czesław, lat 43, organista z Zambrowa, AGK - W-646 t.II str.60-62, DW-17 – 23 lipca 1943 r Sławiec
- Różański Władysław, z więzienia w Łomży, AAN 202/III-120 s.10 – 29/30 czerwca 1943 r,Jeziorko
- Ritel Józef - jak wyżej
- Ruszczyk Zygmunt, z Wizny AGK - ASG t.2 str.170, DW-75 – 1941-1942, Przestrzele
- Rutkowski Antoni, lat 43, nauczyciel z Laskowca, AGK W-646 t.II str. 60-62, DW-17 – 23 lipca 1943 r. Sławiec
- Rutkowski Bronisław, DW-11 – 23 lipca 1943 r.Sławiec
- Sadkowska Helena, lat 30, żona Piotra, AGK - SWWW-758 str.35 – DW – 9-14 – 15 lipca 1943 r. Jeziorko
- Sadkowska Jadwiga, lat 7, córka Piotra i Heleny – jak wyżej
- Sadkowska Wanda, lat 4 – jak wyżej
- Sadkowski Piotr, lat 30, inżynier mąż Heleny – jak wyżej
- Sadowska Alfreda, lat 38, nauczycielka, AGK - ASG t.2 str. 183 – 18 września 1943 r. Pniewo Sadowska Halina, lat 38, żona Adama z Zambrowa, , AGK - W-646 t.II str.60-62, DW-17 – 23 lipca 1943 r Sławiec
- Sadowski, lat ok. 70, z domu starców w Pieńkach Borowych, AGK - ASG-W794 str.73-75 – lipiec 1942 r. Jeziorko
- Sadowski Adam, lat 46, urzędnik z sądownictwa w Zambrowie, AGK - W-646 t.II str.60-62, DW-17 – 23 lipca 1943 r Sławiec
- Samusik Mikołaj, lat 35, nauczyciel z Zambrowa – jak wyżej
- Sawicka Wiktoria, lat 36, pracownica umysłowa z Białegostoku, AGK - W-794 t.IV. str. 87-88 – lato 1942 r. Pniewo
- Siwik Stanisława, lat 37, pielęgniarka, siostra Witolda, AGK - SWWW-758 str.35 – DW – 9-14 – 15 lipca 1943 r Jeziorko
- Siwik Witold, lat 33, urzędnik, brat Stanisławy – jak wyżej
- Skrzeszewski Stefan, AGK - W-794 t.IV. str. 14-16 – lato 1942 r, Pniewo
- Służewska Jadwiga – jak wyżej
- Smurzyńska Antonina, ur. 13.VI.1897 r w Łomży, córka Stanisława i Bronisławy, urzędniczka Banku Polskiego w Łomży, AGK - SWWW-758 str.35 – DW – 9-14 – 15 lipca 1943 r. Jeziorko
- Smurzyński Marian-Antoni, ur. 21.XII.1899 r w Ostrowcu Świętokrzyskim, syn Józefa i Julii, kupiec, działacz gospodarczy – jak wyżej
- Sokołowski Bolesław, lat 45, ur. w Boguszkach, rolnik, sołtys wsi Boguszki , AGK - ASG t.2 str. 163, DW-35 – 4 lipca 1944 r, Boguszki
- Sowiński Edward, z więzienia w Łomży, AAN 202/III-120 s.10 – 29/30 czerwca 1943 r. Jeziorko
- Staniaszek Józef – jak wyżej
- Steć Józef – jak wyżej
- Stefan – nazwisko nie znane, syn wojskowego z Bydgoszczy , AGK - W-794 t.IV. str. 14-16 – lato 1942 r. Pniewo
- Stękowski Jan, z więzienia w Łomży, AAN 202/III-120 s.10 – 29/30 czerwca 1943 r.Jeziorko
- Stokowski Aleksander – jak wyżej
- Stokowski Teodor – jak wyżej
- Studzińska Zofia – jak wyżej
- Sutkowski Józef – jak wyżej
- Szabłowski Józef, lat 36, sierżant WP, AGK W-646 t.II str.60-62, DW-17 – 23 lipca 1943 r Sławiec
- Szarnacki Stanisław, z więzienia w Łomży, AAN 202/III-120 s.10 – 29/30 czerwca 1943 r,Jeziorko
- Szeligowski Alfred, lat 40, aktywista partyjny w latach 1939-1941, AGK - W-646 t.I str. 73 – lipiec 1941 r, Giełczyn
- Szulc Józef, ur. 23.I.1915 r w Łapach, syn Józefa i Heleny, ksiądz katolicki, wikariusz w Dobrzyjałowie, AGK - SWWW-758 str.35 DW – 9-14 – 15 lipca 1943 r Jeziorko
- Szwed (brak imienia), AGK W-794 t.IV str.14-16 – lato 1942 r. Pniewo
- Szwedowa (brak imienia), żona – jak wyżej
- Szyszkowski Aleksander, lat 24, w latach 1939-1941 przewodniczący Komsomołu, AGK - W-681 str. 42-43 – lipiec 1941 r. Giełczyn
- Szyszkowski Władysław, lat 41, robotnik, w latach 1939-1941 działacz partyjny – jak wyżej
- Śliwka Cecylia, w czasie okupacji sowieckiej sekretarz ,,Sielsowietu" w Piątnicy, AGK - S-127/68 – lipiec 1941 r, Giełczyn
- Tomczuk Stanisław, z więzienia w Łomży, AAN 202/III-120 s.10 – 29/30 czerwca 1943 r.Jeziorko
- Trąbka Ludwik - jak wyżej
- Trąbka Stefan – jak wyżej
- Trochimiak Józef – jak wyżej
- Tutas Anna, lat 40, rolniczka ze wsi Kozioł i jej rodzina (poniżej), Rejestr str.162-163 – 17 grudnia 1943 r, Pniewo
- Tutas Eugeniusz – jak wyżej
- Tutas Irena – jak wyżej
- Tutas Władysław – jak wyżej
- Tutas (brak imienia) – córka – jak wyżej
- Tutas (brak imienia) – syn 3 miesiące – jak wyżej
- Tutas Stanisław, lat 40, rolnik, AGK - S-127/68 – lipiec 1941 r, Giełczyn
- Tyszka Henryka-Maria, z d. Hryniewiecka, ur. 11.VII.1912 r w Sztabinie, nauczycielka, żona Tadeusza, AGK - SWWW-758 str.35, DW – 9-14 – 15 lipca 1943 r Jeziorko
- Tyszka Andrzej –Janusz, ur. 8.IV.1937 r w Łomży, syn Tadeusza i Henryki – jak wyżej
- Tyszka Jerzy-Zbigniew, ur. 21.IV.1934 r w Łomży – jak wyżej
- Tyszka Tadeusz, ur. w 1908 r. nauczyciel, mąż Henryki – jak wyżej
- Uściński Józef, z więzienia w Łomży, AAN 202/III-120 s.10 – 29/30 czerwca 1943r. Jeziorko
- Walczuk Stanisław – jak wyżej
- Walewski Stanisław, lat 39, robotnik, członek KPP, w latach 1939-1941 zaangażowany politycznie, AGK - S-127/68 – lipiec 1941 r. Giełczyn
- Wądołowska Janina, z d. Borawska ur. w 1906 r. w Rutkach, AGK - ASG t.2 str. 164, DW-34 – 31 grudnia 1944 r. Nieławice
- Wiśniewska Eugenia, lat ok. 34, urzędniczka magistratu w Wysokiem Mazowieckiem, AGK W-646 t.II str.60-62, DW-18 – 23 lipca 1943 r Sławiec
- Wiśniewski Julian, ur. w 1899 r. syn Adama i Czesławy, inż. geodeta z Zambrowa – jak wyżej
- Wiśniewski Grzegorz, lat 19, syn Juliana – jak wyżej
- Wiśniewski Tomasz, lat 16, syn Juliana – jak wyżej
- Wiśniewski Stefan, lat 13, syn Juliana – jak wyżej
- Wiśniewski Stanisław, lat 20, AGK - ASG t.2 str.170, DW-75 – 1941-1942 r. Przestrzele
- Wiśniewski Stanisław, lat 18, syn Stanisława – jak wyżej
- Wiszniewska Ewa, z więzienia w Łomży, AAN 202/III-120 s.10 – 29/30 czerwca 1943 r,Jeziorko
- Wiszniewska Helena – jak wyżej
- Wiszniewski Franciszek – jak wyżej
- Wiszniewski Józef – jak wyżej
- Wiszniewski Mieczysław – jak wyżej
- Wiszniewski Stanisław – jak wyżej
- Wnorowski Wacław, lat 40, robotnik, Rejestr str. 53 – lipiec 1941 r. Giełczyn
- Wojłkowski Antoni, z więzienia w Łomży, AAN 202/III-120 s.10 – 29/30 czerwca 1943 r,Jeziorko
- Wyrzykowski Czesław, lat 47, nauczyciel z Wiśniewa, AGK W-646 t.II.str.60-62, DW-17 – 23 lipca 1943 r. Sławiec
- Zakrzewski Kazimierz, z więzienia w Łomży, AAN 202/III-120 s.10 – 29/30 czerwca 1943 r.Jeziorko
- Zakrzewski Stanisław – jak wyżej
- Zakrzewski Władysław – jak wyżej
- Zalewski Aleksander – jak wyżej
- Zaremba Ludwik, ur. 18.X.1890 r w Zarembach-Kromkach, syn Józefa i Emilii, nauczyciel, powołany przez Niemców na burmistrza Wysokiego Mazowieckiego, członek AK, AGK W-646 t.II str.60-62, DW-18 – 23 lipca 1943 r Sławiec
- Zaręba Jan, z więzienia w Łomży, AAN 202/III-120 s.10 – 29/30 czerwca 1943 r.Jeziorko
- Zubert Piotr – jak wyżej
- Zwierzyńska Julianna, lat 32, gospodyni domowa z Zambrowa, Rejestr str.162-163 – 17 grudnia 1943 r. Pniewo.
Autor: Jerzy Smurzyński
2007-03-13 11:31 Opublikował: Admin
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Masowe zbrodnie hitlerowskie w Powiecie Łomżyńskim
Starostwo Powiatowe Łomża
Starostwo Powiatowe w Łomży
ul. Szosa Zambrowska 1/27
tel. (086) 215 69 00
fax. (086) 215 69 04 E-mail:starosta.blm@powiatypolskie.pl
Posté par: Vendôme (IP Loggée)
Date: 03 juillet, 2015 03:54
Zefir, chapeau bas...
Impressionnant et émouvant quand on regarde les détails.
Posté par: Zefir (IP Loggée)
Date: 03 juillet, 2015 07:54
En cherchant autre chose, je suis tombé sur ce document :
Victimes juives de Jedwabne
Posté par: trepanowski (IP Loggée)
Date: 07 juillet, 2015 12:14
Bonjour,
Merci beaucoup Zephir !
Je ne suis pas repassée plus tôt car nous fêtions un mariage ce week-end.
Je vais me plonger dans ces documents.
Posté par: trepanowski (IP Loggée)
Date: 07 juillet, 2015 12:46
Les deux listes semblent se recouper et se compléter... et je partage l'avis de Vendôme...
Je n'ai pas trouvé les patronymes qui m'intéressent... mais je vais continuer à chercher dans cette voie.
Merci encore Zephir
Posté par: Zefir (IP Loggée)
Date: 07 juillet, 2015 20:55
trepanowski a écrit:
-------------------------------------------------------
> Les deux listes semblent se recouper et se
> compléter... et je partage l'avis de Vendôme...
> Je n'ai pas trouvé les patronymes qui
> m'intéressent... mais je vais continuer à
> chercher dans cette voie.
> Merci encore Zephir
Sans indiscrétion, quels seraient ces patronymes ?
Vous pouvez me les envoyer par MP, je tenterai mon possible.
Posté par: trepanowski (IP Loggée)
Date: 09 juillet, 2015 16:40
Il n'y a pas de secrets. Trepanowski/a et Turowski/a
Je tente une recherche généalogique depuis un moment, je ne parle pas polonais mais on va dire que je me débrouille avec les langues étrangères. Je ne suis pas certaine de la religion de mes ancêtres et à chaque fois que j'ai fait des recherches avec ces patronymes je n'ai rien trouvé ou pas grand chose (personnes portant ce nom actuellement en Pologne, sites de généalogies, recherches tous azimuts avec ces noms là sur internet) comme s'ils n'avaient pas existés et que mon grand-père était une "génération spontanée". Quand je cherche des choses sur Wizna, je tombe sur le massacre de Jedwabne. D'où ma question initiale.
Si vous avez la possibilité de faire une recherche, j'en serai ravie
Posté par: jean pierre (IP Loggée)
Date: 09 juillet, 2015 17:34
[www.moikrewni.pl]
Posté par: jean pierre (IP Loggée)
Date: 09 juillet, 2015 17:36
les turowski sont beaucoup plus nombreux.
Posté par: Vendôme (IP Loggée)
Date: 10 juillet, 2015 12:17
Citation:
trepanowski
Quand je cherche des choses sur Wizna, je tombe sur le massacre de Jedwabne
Normal, entre les deux il n'y a que 12 km
Dans le lien donné par jean pierre, les Trepanowski sont majoritaires dans la région de Łomża. Tous les noms mentionnés sur la liste donnée par Zefir sont originaires de la même région. Il y a donc pas mal de sources d'informations possibles :
- En premier lieu l'adresse indiquée
Starostwo Powiatowe w Łomży
ul. Szosa Zambrowska 1/27
tel. (086) 215 69 00
fax. (086) 215 69 04 E-mail:starosta.blm@powiatypolskie.pl
- En deuxieme :
Instytut Pamięci Narodowej (Institut de la Mémoire Nationale - Agence de Bialystock) -
ul. Warsztatowa 1A,
15-637 Białystok
tel. 85 664 57 01,
fax 85 664 57 00
< IPN - Bialystock >
- En troisième :
Oddziałowe Biuro Udostępniania i Archiwizacji Dokumentów (OBUiAD)
ul. Warsztatowa 1A,
15-637 Białystok
< [ipn.gov.pl] >
Posté par: Zefir (IP Loggée)
Date: 10 juillet, 2015 13:57
A mon avis, le patronyme devait être Trzepanowski -ska -scy
Posté par: trepanowski (IP Loggée)
Date: 10 juillet, 2015 15:53
Vous m'impressionnez
Je n'avait pas pensé à cette orthographe différente du nom. Cela dit, en additionnant les résultats trouvés avec les deux orthographes, on doit être autour de 130 personnes dont une partie plus "active" (mais qui ne me concerne pas) sur Varsovie. Il y a plus de Trepanowski aux Etats Unis qu'en Pologne, un comble, non ? (il y a eu des émigrations vers 1900 et certainement un peu après, au moins trois hommes différents) Il y a un "truc". On était tout de même à une époque où on avait plus facilement 6/8 enfants que 1 ou 2... A priori, mon grand-père n'avait de contact en Pologne qu'un neveu (il y a plus de 40 ans).
Merci pour les liens, je vais les contacter pour essayer de progresser
Posté par: Trabszo (IP Loggée)
Date: 10 juillet, 2015 16:35
A toutes fins utiles:[www.straty.pl]
Posté par: trepanowski (IP Loggée)
Date: 10 juillet, 2015 21:51
Merci pour cette piste aussi Trabszo