(Stella-Plage) camps de scouts polonais dans les annees 50

Démarré par Archives, 02 Novembre 2023 à 15:00:55

« précédent - suivant »

Archives

Posté par: Vendôme (IP Loggée)
Date: 26 mars, 2016 22:44

    Citation:
    Max-J-Pol Fouchet
    chez les Petaoucnokiens ( sans h, me fait-on remarquer en régie )

Ouais ben, à grincheux, grincheux et demie...

    Citation:
    J-P d'Alembert
    comme disait de Gaulle, : " j'espérais que vous auriez rectifier de vous-même "


... si tant est que le Général eusse jamais confondu l'infinitif et le passé simple. Par comme un certain malfaisant ici...

Archives

Posté par: jpaul (IP Loggée)
Date: 27 mars, 2016 00:12

Vendomédisant :

    Citation:
    Par comme un certain malfaisant ici...



Je vois que vous ne rectifiâtes pas de vous-même, comme je l'eusse espéré et que ce n'est que la médisance qui a fait fourché votre index vengeur sur les touches de votre antique Underwood, commençant par ne pas, pour ne pas, par le pas, de part, et d'autre façon, pour ne pas commencer par pas.

As-tu seulement remarqué que je n'avais pas changé, au lieu de décortiquationner ce que le Général a dit d'une façon infinitive et définitive. Je suis sûr qu'il n'aurait pas mis de E à demi, lui. On est bien loin de l'agave de l'Est et de la gare du Nord.

Archives

Posté par: Vendôme (IP Loggée)
Date: 27 mars, 2016 00:29

    Citation:
    Bonnet d'Âne
    ce n'est que la médisance qui a fait fourché votre index vengeur


... décidément !

Archives

Posté par: jpaul (IP Loggée)
Date: 27 mars, 2016 01:09

    Citation:
    ... décidément !

https://smileys.surlatoile.org/repository/Content/0046.gif a écrit le Vendomagaçant-narquois.



Risque plus de se planter l'obsédé de l'infinitif préoccupé par la forme et non par la fond, y ne met plus que des adverbes, va finir par des onomatopées, cherchant obstinément de quoi dénigrer son gentil camarade qui avait fait l'effort de sortir sous la pluie pour, dans un clin d'oeil malicieux, poser dans une attitude fière mais néanmoins débonnaire, afin de démontrer à la postérité que je n'étais pas indifférent à sa photographie prise en Petaouchnoquerie, afin démontrer une certaine connivence et une cohérence dans l'absurde.
J'y mettais mes souvenirs intimes liés à une certaine idée de mon adolescence et de cette grand-mère polonaise que je ne connu pas assez ainsi que l'agava qui lui, est peut-être, toujours-là ; Au lieu de cela, le Vendomauvaizesprit, n'y voit qu'une ou deux malheureuses fautes de frappe et nous en fait des montagnes ; Où sont nos souvenirs dans cette rubrique dédiée à ceux-ci.

Y pourrait même nous en faire des pendules, puisque l'on doit changer d'heure dans la nuit.
Les paris sont ouverts.

Archives

Posté par: Vendôme (IP Loggée)
Date: 27 mars, 2016 11:04

    Citation:
    Gnan-gnan
    préoccupé par la forme et non par la fond (...) va finir par des onomatopées


... plouf !

Archives

Posté par: Vendôme (IP Loggée)
Date: 27 mars, 2016 14:18

Eh ben voila ! A court d'arguments, Môssieur fait le zouave

http://gifdrole.com/chutes/bv000003.gif
Jean-Paul à Stella-Plage

Archives

#171
Posté par: jpaul (IP Loggée)
Date: 27 mars, 2016 14:49

Faire le Zouave, c'est de famille chez nous : Photo de mon papa, pendant son service militaire dans le 3ème RZ, ( régiment de zouaves) basé à Constantine, avant de participer à la ligne Mareth , remontant au front en Juin 40 du côté de Beauvais, pour Monsieur Vendôme.

Des questions ?

Archives

Posté par: zoska44 (IP Loggée)
Date: 27 mars, 2016 16:57

Czołem Chłopaki

Bon d'abord JP je t'avais dit que la dame c'est Pani Janina Niedźwiecka et pas Pani Irena Grochowska que l'on peut voir accroupie sur l'autre photo en uniforme des Eclaireuses polonaises, 2ème à partir de la droite. Pani Ida Olkusznik étant debout, de 3/4 5ème à partir de la gauche. La dame en pull au dessus de Pani Grochowska était elle aussi une chefaine scout, veuve qui se mariera ensuite avec un de nos monos de Stella, Pan Brożek, mais j'ai oublié son nom.
J'adore ton zouave de Paul. Je comprends beaucoup de choses maintenant.
J'aime ta babcia et les aloès derrière super!
Quant à Vendôme, qu'il est loin l'enfant de choeur de l'Eglise polonaise et le ulan indien de Stella, mais on reconnait bien, surtout la petite queue derrière. Lequel a copié sur l'autre? Pour ma part il m'est totalement impossible de tenter ce genre de folie au niveau e la chevelure vu que là haut ça ressemble à une piste d'atterrissage à mouches.

Pozdrawiam

Archives

Posté par: Vendôme (IP Loggée)
Date: 27 mars, 2016 17:43

    Citation:
    Zoska44
    JP je t'avais dit que la dame c'est Pani Janina Niedźwiecka et pas Pani Irena Grochowska


Alors bravo Jean-Paul et bravo Jean-Paul — alias le Roi de l'Enduit.
Tu veux te paumer (à Pétaouchnok par ex.) : tu demandes ton chemin à Jean-Paul. Tu veux te prendre une décharge de gros sel dans les miches, tu vas marauder des pommes avec Jean-Paul ; tu veux renter bredouille du bal, t'y vas avec Jean-Paul ; tu veux valser dans le décors en bas de la descente, t'empruntes le biclo à Jean-Paul... T'as besoin de rien : ru demandes à Jean-Paul

Plus sérieusement : il me semble qu'il est question du 3ème RZ dans le livre du regretté Pierre Miquel, "L'Exode, 10 Mai-20 Juin 1940".

@ Zoska : pour le catogan, on s'est pas concertés. Mais depuis j'ai coupé le mien.

Archives

Posté par: jpaul (IP Loggée)
Date: 27 mars, 2016 19:36

En fait Zoska m'avait même dit qu'il s'agissait de Pani Janina Lubert de Monfort de Niedzwiecka, ( plus connu sous le nom de Lulu ( là, je plaisante- pour le surnom).

tu ne (je cite) : Ru demandes à Jean-Paul. La pauvre Underwood Vendômienne n'en peut plus et il continue quand même, malgré le poids des années, à lui taper dessus, cherchant inlassablement à prendre sa vessie pour des calembredaines, car n'étant pas maraudeur de pommes, n'allant pas à la pêche dans des bals poet-poet, ne valsant pas sur les versants d'un décor incertain, tout cela relève de la pure affabulation discriminatoire. On lui pardonnera en ce jour de Pâques.

Quant à l'inversion du nom cité plus haut, cela serait facile d'incriminer mes neurones, si Vendôme n'avait pas un jour évoqué ce nom, que l'on prit pour argent comptant.

Concernant le catogan, il est vrai que nous fûmes surpris de savoir que nous avions la même coiffure arrière, avec d'autres points communs, la preuve. Si je coupais le mien, il n'y aurait plus rien sur la caboche, vu que les cheveux du dessus sont assez transparents, à défaut d'avoir blanchis.

Ce fut le Vendredi 13 Juin 1940, à 13h 13, que mon père fut fait prisonnier de guerre, avec le restant de son groupe éparpillé dans une salle de classe d'un petit village encerclé par les allemands... Je ne sais pas si il y avait un chat noir qui passait aussi. La suite de l'histoire a fait qu'ainsi, à cause de cela, plus tard, il rencontra une petite polonaise en terre ennemie...

Archives

Posté par: zoska44 (IP Loggée)
Date: 27 mars, 2016 21:00

Oooo K..a!!!! (rare exemple de vocatif en polonais), ça c'est encore barré je ne sais où!

Bon alors Czołem Chłopaki

JP bravo tu as bien retenu la leçon au sujet de la dame directrice de Stella Pani Niedzwiecka.

En ce qui concerne vos cactés dont il est question dans vos messages je connais une ritournelle canadienne qui résume bien la situation. Je pense que vous la connaissez itou, troulala itou (Ca c'est pour JP et nos souvenirs Bożenarodzeniowe)
Aloes gentil aloes
Aloes je te plumerai...

L'effort a été trop fort, je vais me coucher.

Pozdrawiam

Archives

Posté par: Vendôme (IP Loggée)
Date: 28 mars, 2016 12:08

@ Jean-Paul
Je crois que t'as raison pour Pani Grochowska, je crois que ça vient de moi, mais il me semble que c'est Jean-Marc qui m'avait donné le nom, car sa mère a fait la cuisine plusieurs années de suite à Stella.

Mais vu l'état de déglingue avancée de mon ciboulot, je ne suis plus sûr de rien... http://macg.net/emoticons/saduncertain1.gif



Sob..

Archives

Posté par: jpaul (IP Loggée)
Date: 28 mars, 2016 14:04

Vendômemoriseur a dit :

    Citation:
    sa mère a fait la cuisine plusieurs années de suite à Stella.

, alors Zoska doit savoir, vu qu'il rôdait dans les arrière-salles et la cuisine, qui servait de passage obligé raccourci pour aller dans les dunes, et qu'il se peut que ses parents amélioraient l'ordinaire sur les tables des adultes, en ramenant les fameux ceps de sapins, dont Vendôme faisait aussi la cueillette, à moins que Jan-Marek puisse nous en dire plus sur les cuisines de Stella !



@ Zoska :

Même que Vendôme a pensé que je n'oserai pas faire cette fumeuse Alouette plumée, si tant est qu'elle fut succulente, mais non succulente comme l'Aloés.
M'enfin tu avais peut-être pas vu la remarque qu'il m'adressait, mais où l'on voit bien que les jeux de mots vaseux ne nous font pas peur, certainement issus d'un fond commun où nous fûmes plongés du côté des plages Stellaires et autres szkola de la rue Vigée Lebrun.
Et comme disait Gilles Dreu, pour faire plaisir à Vendôme:

Aloès, aloès,
L'été est fini,
Pauvre petite bête,
Je suis ton ami
Aloès, aloès,
Je te comprends bien...

Archives

Posté par: Vendôme (IP Loggée)
Date: 28 mars, 2016 14:43

... non mais franchement !

Archives

Posté par: 43ber (IP Loggée)
Date: 28 mars, 2016 17:41

Je suis aussi un ancien de Stella-Plage

A l'âge de 6 ans et jusqu'à 12 ans, pour un tas de raisons, j'ai atterri à l'orphelinat de Campagne les Hesdins, dont les baraquements d'hébergement avaient été édifiés dès 1914 pour servir d'hôpital militaire, c'était d'un confort digne d'un hôtel de moins 4 étoiles, même encore en dessous.

Toutes les vacance estivales se déroulaient à Cucq, à la salle des fêtes "les Coquelicots", transformée pour l'occasion, en dortoir.

Lorsque nous allions à la mer, en venant de Cucq, on passait devant la colonie de vacances des polonais, située au début de la ligne droite menant à la plage.

De mémoire, je me rappelle d'un remue-ménage, de chants, de cris joyeux, bref, très bruyant, alors que nous marchions en rang et relativement en silence.

Je ne me rappelle pas avoir eu des contacts avec les colons polonais.

Par contre sur la plage, on courrait dans tous les sens, notamment dans le secteur des blockhaus, alors que les polonais étaient plus encadrés.

On s'ingéniaient à rechercher les cartouches, non utilisées, pour retirer la balle et ensuite extraire les "macaronis" que l'on disposait sur le béton, en écrivant nos prénoms.

En allumant le premier macaroni, tous les autres brûlaient à leur tour, en laissant la trace du prénom sur le béton.

Le mieux, c'était de disposer d'une planche de bois, le prénom était nettement plus marqué et légèrement incrusté, à la manière d'une pyrogravure.

Comme la plupart des mes copains, on avait appris à nager tout seul dans les bâches.

Quand enfin, je suis rentré à la maison, en période estivale, on n'hésitait pas à sauter d'un pont sur le Deule, à proximité du port charbonnier de Lens, le problème était le décrassage après la baignade car l'eau de la rivière était chargée, à refus, de particules de charbons.

On se lavait donc à la pompe, implantée dans chaque coron dont les habitations, à l'époque, ne disposaient pas d'eau courante, l'adduction n'a été réalisée que dans les années 1955/1958.

Si certains ont suivi le même parcours, je souhaiterai qu'ils se manifestent.

J'oubliais: dans la région lensoise, on ne disait pas: "Tu pue de la gueule, mais tu pue de la Deule", sans commentaire.

Depuis, la Deule a été rebouchée en faisant place à une autoroute urbaine.