Kto zyl w PRL-u ? Qui a vécu en RPP ?

Démarré par Archives, 02 Novembre 2023 à 13:33:46

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Posté par: Vendôme (IP Loggée)
Date: 20 janvier, 2017 18:06

Nostalgie du matin, chagrin sad smiley
Nostalgie du soir, espoir... smiling smiley

Comme toi, Zoska, je m'étais juré à la fin de mon dernier voyage en 1973, suite à une indigestion d'emmerdes, de ne plus jamais remettre les pieds dans ce pays merdurique.
Mis à part un aller-retour éclair CDG-WAW (dans le même avion), juste avant la loi martiale, pour le soutien à une juste cause, je n'y suis retourné que 40 ans plus tard.

Et je trouve qu'on y croise encore beaucoup de salopards ; et surtout les "fils de" (Resortowe Dzieci)http://wiadomosci.dziennik.pl/opinie/artykuly/535660,kim-sa-resortowe-dzieci-dorota-kania-znamienna-postacia-jest-bronislaw-komorowski.html qui, dans les sphères politico-économiques, trustent les bons postes, non pas en fonction de leurs compétences, mais grâce aux réseaux de leurs parents ex-fonctionnaires du régime communiste.

(L'assise du Po ce sont ces privilégiés là et leurs gosses

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Posté par: Zefir (IP Loggée)
Date: 20 janvier, 2017 22:54

Ces hommes d'affaires surgis du néant et possédant des empires, j'en ai rencontrés dans les années 1990-2000.
Personne n'a osé y toucher.

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Posté par: jpaul (IP Loggée)
Date: 21 janvier, 2017 21:09

Lorsque Vendôme évoque son périple de 1973 à bord de sa R12 break bleu-ciel, je ne peux m'empêcher de penser à celle que conduisait déjà en 1967 mon père lorsque nous nous rendions en Pologne pour les vacances et que ma mère revoyait ainsi pour un mois la terre de ses parents et sa famille.
Il ne devait pas y avoir beaucoup de Rénaoulte break bleu clair qui sillonnaient le pays à l'époque de la PRL et c'est encore un hasard commun qui fit que peut-être on aurait pu se croiser sur les routes à quelques années près, à défaut d'un compartiment SNCF.
Et un coup de klaxon quand une voiture à l'auto-collant « F »en rencontrait une autre et un signe de la main. Les touristes de l'Ouest ne sillonnant pas encore trop le pays.
Certes, c'était la PRL et son régime désastreux, comme le découvrit Zoska en 1968 , avec cette bureaucratie suspicieuse et larvaire, ces « combinations », ces attentes interminables dans les magasins, souvent pour rien car le peu de marchandises étaient déjà épuisées quand on arrivait devant l'étal, ( viande etc...) et cette impression de méfiance entretenue par le pouvoir vis-vis de tout un chacun.

Certes c'était la PRL, mais c'était aussi la Pologne éternelle, celle de son histoire, de ses villes, de son paysage, de ses lacs et de ses plaines. Mon père se lâchait, entre-autres, pendant ce mois de vacances dans une nature grandiose, profitant de ces instants privilégiés, loin de tout mais si intenses. Communion avec la nature que l'on ne retrouvait déjà plus en France et interminables parties de pêche dans les lacs de Kujowsko-pomorskie, après avoir vu la famille, participé aux retrouvailles et déchargé la R12 transformée en voiture-chameau, emportant sur la galerie ce que ma mère n'avait pas envoyée par la Sernam. ( cadeaux, vêtements, imperméables en Ortalion, pour ceux qui connaissent...)
Alors, après cela se passait sur les bords d'un immense plan d'eau, ici ou ailleurs, avec quelques membres de la famille, des amis et en camping sauvage improvisé. La popotte était de sortie, le camping-gaz aussi et le produit de la pêche atteignait directement sa destination.
Pas tous les jours, bien sûr, la pellicule retient uniquement ces instants de bonheur simple, où mon père fermait pendant un mois ( un an sur deux) la petite entreprise d'électricité générale, qu'il avait réussit à monter en partant de rien au retour de la guerre et emmenait sa femme polonaise et ses enfants au pays de Babcia et Dziadek.

Sur la photo : La R12 Break Bleu-clair, le déballage-foutoir de ces pique-niques au bord de l'eau, maman déléguée à la préparation des poissons tout frais péchés, et les pêcheurs d'eau douce en arrière-plan quelque part du côté de Wloclawek ou de Ciechocinek.

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Posté par: zoska44 (IP Loggée)
Date: 22 janvier, 2017 05:08

Czołem!

Merci Panie Vendôme pour cet article qui m'a beaucoup intéressé.

Cela m'a fait revenir en mémoire certaines gens, que par mes fonctions à l'époque j'ai du rencontrer et côtoyer: un premier "sinistre" W.C...cz très propre sur lui avec une raie bien dessinée sur le crane, "oblizany" aurait dit ma mère, une président, (K..ski)sympathique au demeurant dans le privé, mais effectivement qui sans son géniteur ne serait jamais arrivé là où il se trouvait alors. Son conseiller pour la sécurité M. S...c. La liste des noms est trop longue pour être citée ici

Deux personnes m'ont cependant marquées, car dans la transaction avec le ministère du Trésor (gouvernement Buzek avec sa bande de "Pamapersy") menée par ma société, visant à racheter les parts du Ministère dans l'un des "fleuron" de dont il était propriétaire, j'ai rencontré deux personnages hauts en couleurs, tous deux généraux à la retraite, conseils auprès de sociétés cherchant à pénétrer le marché polonais, ainsi qu'auprès de nombreuses sociétés polonaises.

L'un, dont le prénom a servit pour désigner une unité d'élite de l'armée polonaise, l'autre, qui dirigea cette unité, proche du premier et qui s'est "suicidé".

J'eus avec le premier, qui servit de "go beetween" dans la transaction dont il est question plus haut, de nombreuses discussions sur mon long séjour en URSS. J'eus un jour la surprise de le rencontrer dans le bureau d'un futur premier ministre, situé quelques étages au dessus des miens, et avec lequel j'avais des contacts de bon voisinage.
Par la suite il a déclaré qu'il a pris "une part non négligeable dans la création de PO.

Il a également eu une position très critique vis à vis de hélicoptères type"Caracal", dont l'échec de l'A/O a permis à quelques Beskidiens d'échanger quelques posts aigre doux.

Ce que j'ai lu dans l'article que tu as joint à ton post ne m'étonne pas. On retrouve les mêmes ingrédients que dans l'ex URSS, après le passage de la "perestroïka, uskarienie et autre glasnost'su même genre".

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Posté par: jpaul (IP Loggée)
Date: 05 mars, 2020 23:50

Le 20 Janvier 2017, Vendômniprésent écrivait :

    Citation:
    Le temps de récupérer le fichier avec mon texte dans les catacombes de mon ordinateur et je reviens.

, en nous montrant un photo des cascadeurs de l'équipe Legris dans le début des années 1970. Comme il a dû quantiquement se paumer dans les catacombes de son ordi, ou paumer l'ordi carrément,on attend toujours la fin de l'histoire de la Winchester et du break R12 bleu ciel.
Pour patienter ( ça ne fait que 3 ans !) et le début de l'histoire c'était il y a 7 ans...Je met une petite vidéo de cette époque, peut-être inspirée par les cascadeurs :

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Posté par: Vendôme (IP Loggée)
Date: 06 mars, 2020 18:16

    Citation:
    Jean-Paul
    on attend toujours la fin de l'histoire de la Winchester et du break R12 bleu ciel.


Quelle mémoire Excellence ! Moi j'avais carrément oublié... Alors, en avant
(...)
Avec mon amie on en est arrivé à la conclusion effrayante qu'il n'y avait plus rien à faire avec ces allumés enthousiastes et opiumisés d'illusions, et que cette génération était perdue, ensablée d'avance dans ses utopies marxistes-léninistes. Pris de malaise, on a décidé de quitter ces lieux idylliques et nous v'là repartis vers Checkpoint Charlie pour sortir dare-dare de ce paradis socialiste.

Toujours avec la carabine, sous une veste, à l'arrière du véhicule... (à suivre)

< Checkpoint Charlie > venant de Berlin-Est, pour qui n'a pas connu, c'était glauque et ça foutait franchement les boules. On arrive donc sur une aire de stationnement avant les barrières ; contrôle des passeports et du visa de transit de 24 h. Regards fouineurs dans le véhicule (la carabine n'a pas bougé de place), et de là je me dirige vers un bâtiment des gardes-frontières pour récupérer les cassettes audios (les grandes au format US) et les magazines que j'avais dû remettre en arrivant contre un reçu. Surprise, je dois m'acquitter de frais de consigne... payables en DM de la RFA ; j'en ai pas ; en entrant à Berlin-Est j'avais changé ceux que j'avais contre de DM de la DDR. Donc, je rechange ma mitraille en alu restante contre des DM RFA avec une belle arnaque au passage. Revenant à la voiture, j'aperçois deux marioles avec des tronches obliques qui snustrent le dessous de la bagnole, sous tous les angles, avec un miroir incliné monté sur deux roues de vélo. Peine perdue : de la Karl Marx Platz d'où on venait, les pionniers en chemises blanches étaient tous heureux d'y siroter leurs jus d'ananas, et aucun n'avait l'intention de déserter ce paradis des Travailleurs.

On arrive au contrôle allié en face, les mecs sont souriants (ça change), ça dure deux secondes, et nous v'là traversant Berlin-Ouest pour repasser la frontière de la DDR vers l'Est. Contrôle des passeports et obligation d'acheter encore un visa de transit jusqu'à la frontière... payable uniquement en marks ouest-allemands. Je paye donc avec les marks que j'avais changé à Checkpoint Charlie, et là, le gus derrière la vitre me refuse quelques pièces de 1 mark (à l'effigie d'Adenauer) disant qu'elles n'avaient plus cours ! J'ai beau protester que ce sont ses collègues qui me les avaient refilées, il en a rien à secouer. En une seule journée, la DDR j'en ai ma dose à jamais... Que je croyais : la suite du voyage m'enseignera que le pire reste à venir !

(à suivre...)

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Posté par: Vendôme (IP Loggée)
Date: 06 mars, 2020 18:16

    Citation:
    Jean-Paul
    on attend toujours la fin de l'histoire de la Winchester et du break R12 bleu ciel.


Quelle mémoire Excellence ! Moi j'avais carrément oublié... Alors, en avant
(...)
Avec mon amie on en est arrivé à la conclusion effrayante qu'il n'y avait plus rien à faire avec ces allumés enthousiastes et opiumisés d'illusions, et que cette génération était perdue, ensablée d'avance dans ses utopies marxistes-léninistes. Pris de malaise, on a décidé de quitter ces lieux idylliques et nous v'là repartis vers Checkpoint Charlie pour sortir dare-dare de ce paradis socialiste.

Toujours avec la carabine, sous une veste, à l'arrière du véhicule... (à suivre)

< Checkpoint Charlie > venant de Berlin-Est, pour qui n'a pas connu, c'était glauque et ça foutait franchement les boules. On arrive donc sur une aire de stationnement avant les barrières ; contrôle des passeports et du visa de transit de 24 h. Regards fouineurs dans le véhicule (la carabine n'a pas bougé de place), et de là je me dirige vers un bâtiment des gardes-frontières pour récupérer les cassettes audios (les grandes au format US) et les magazines que j'avais dû remettre en arrivant contre un reçu. Surprise, je dois m'acquitter de frais de consigne... payables en DM de la RFA ; j'en ai pas ; en entrant à Berlin-Est j'avais changé ceux que j'avais contre de DM de la DDR. Donc, je rechange ma mitraille en alu restante contre des DM RFA avec une belle arnaque au passage. Revenant à la voiture, j'aperçois deux marioles avec des tronches obliques qui snustrent le dessous de la bagnole, sous tous les angles, avec un miroir incliné monté sur deux roues de vélo. Peine perdue : de la Karl Marx Platz d'où on venait, les pionniers en chemises blanches étaient tous heureux d'y siroter leurs jus d'ananas, et aucun n'avait l'intention de déserter ce paradis des Travailleurs.

On arrive au contrôle allié en face, les mecs sont souriants (ça change), ça dure deux secondes, et nous v'là traversant Berlin-Ouest pour repasser la frontière de la DDR vers l'Est. Contrôle des passeports et obligation d'acheter encore un visa de transit jusqu'à la frontière... payable uniquement en marks ouest-allemands. Je paye donc avec les marks que j'avais changé à Checkpoint Charlie, et là, le gus derrière la vitre me refuse quelques pièces de 1 mark (à l'effigie d'Adenauer) disant qu'elles n'avaient plus cours ! J'ai beau protester que ce sont ses collègues qui me les avaient refilées, il en a rien à secouer. En une seule journée, la DDR j'en ai ma dose à jamais... Que je croyais : la suite du voyage m'enseignera que le pire reste à venir !

(à suivre...)

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Posté par: Mik (IP Loggée)
Date: 07 mars, 2020 13:27

Décidément, tu as le sens du suspense !

Une chose me chiffonne. Tu écris :
"On arrive au contrôle allié en face, les mecs sont souriants (ça change), ça dure deux secondes, et nous v'là traversant Berlin-Ouest pour repasser la frontière de la DDR vers l'Est."

Ça ne serait pas plutôt vers l'ouest ?

Mik

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Posté par: jpaul (IP Loggée)
Date: 07 mars, 2020 21:36

Si j'ai bien compris le périple de Vendômalin, et ayant pratiqué aussi la Zone Interdite dans les années 70, sans m'arrêter en laissant Berlin sur ma gauche pour aller en Pologne, on ne pouvait traverser la DDR que par l' autoroute dessinée en rouge sur mon croquis-gnolesque.

Je suppose que Vendôme and Co°,désignés ici par le trajet en bleu est entré dans Berlin par Berlin-Ouest, seul point de passage pour y entrer et donc franchir une " frontière". De là il a fallu passer à Berlin-Est en passant par le poste "frontière" de Checkpoint Charlie, s'empiffrer de jus d'Ananas et de saucisses chaudes en écoutant un prosélytisme estudiantin de cerveléssivées, ressortir par le même point en se faisant arnaquer et se retrouver dans Berlin-Ouest, qui est enclavé dans une partie du bloc de l'Est, dans l'Allemagne du même nom.

De là, il fallait rejoindre l'autoroute rouge ( non pas qu'elle fut communiste entièrement, mais pour la clarté de la démonstration).

Donc retourner en DDR en refranchissant la" frontière" et se retrouver dans ce que l'on appelait communément "l' EST " et continuer son chemin vers cet "Est" ( la Pologne, ici) , même si géographiquement le point de sortie de Berlin-Ouest ( qui était le même et le seul point d'entrée-sortie dans Berlin-Ouest) se trouve plutôt au Sud-Ouest.

Le " périphérique" de Berlin- complet ressemblait plutôt à des barbelés électrifiés avec des miradors comme ceux qui coupaient cette capitale en deux.

D'où peut-être l'emploi du terme "Est" par Vendômirador. Sortant vers l'Ouest géographique pour entrer dans l' Est politique.

A moins que je ne sois à l' Ouest de moi-même.

 (document non contractuel)

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Posté par: Mik (IP Loggée)
Date: 08 mars, 2020 09:37

Merci pour cette tentative d'éclaircissement.
Le schéma est très clair, tu aurais pu faire prof. Bravo

J'avoue ne pas avoir relu l'épisode précédent et je m'imaginais qu'ils étaient dans leur voyage de retour, qu'ils étaient contents de quitter le paradis socialiste et de s'en retourner vers l'enfer capitaliste, c'est à dire la RFA puis la France.

Attendons le verdict du sieur Vendôme.

Mik

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Posté par: Vendôme (IP Loggée)
Date: 08 mars, 2020 20:13

Merci au camarade Kartografski, c'est exactement mon périple.
Mik, le poste précédent c'est page 4 - 22 juin, 2013 22:24

(...) En une seule journée, la DDR j'en ai ma dose à jamais... Que je croyais : la suite du voyage m'enseignera que le pire reste à venir ! (...)

Donc, nous entrons à nouveau en DDR, ravis néanmoins de quitter la parano berlinoise, et nous roulons en direction de la frontière polonaise à une centaine de kilomètres de là. Nous arrivons sur la rive gauche de l'Oder en début d'après-midi ; la Pologne est sur l'autre rive... ouf on y est presque !
Maaais c'étaient des malins à la frontière : le premier poste de contrôle, à l'entrée du pont côté DDR, c'était les gardes-frontière polonais. Contrôle des passeports, et là bien sûr, à l'inverse des marioles de Checkpoint Charlie, les Polonais - qui eux pratiquent le polonais couramment - lisent l'annotation relative au port d'arme, et, curieux, ils demandent à voir ; je leur tends la carabine qui étincelle au soleil, ils se la passent de main en main, en apprécient la finition, vérifient les boîtes de munitions, puis nous laissent partir vers le territoire polonais. On traverse le pont à faible allure pour apprécier la beauté du fleuve. Devant moi approche l'autre poste de contrôle
— "Vraisemblablement les douaniers polonais", me dis-je.
Erreur : je reconnais l'uniforme est-allemand... ach nein, ça va pas rekommenciert !

Eh ben si, ça recommence ! Contrôle des passeports, et comme ils avaient dû m'observer à la jumelle, exhibant la Winchester sur l'autre rive, ils demandent à la voir, ainsi que de produire le Transitvisum zur Waffe qui va avec. La délivrance d'icelui que j'avais pas pris la peine de demander en pénétrant sur le territoire de ce pays de Cocagne, en pleine nuit sous une pluie battante, entre deux miradors et des haies de berbéris doublées de barbelés en fleurs. Comme je l'ai compris au retour, on déclare l'arme en arrivant en DDR ; il lui est attribué un visa de transit tamponné sur le passeport, et on vous la fourre dans une housse opaque fermée par des scellés numérotés qu'il faut présenter intacts en quittant la DDR.

Les mecs appellent leur chef, qui nous pique nos passeports et nous intime l'ordre d'aller nous garer sur le parking d'un bâtiment lugubroïdal. En approchant je m'aperçois que autres bagnoles étaient déjà stationnées là, plaques d'immatriculation dévissées et ficelles avec scellés tout autour des portes.
Aïe aïe aïe, ça craint... surtout que la R12 était une voiture de société, et si on me la confisquait, la boîte (américaine) n'aurait pas apprécié !

(à suivre ...)

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Posté par: jpaul (IP Loggée)
Date: 17 mars, 2020 11:36

En attendant que Vendômunitions nous narre la suite : dans ces années-là, mon épouse et bibi on faisait du camping sur les bords de la Baltique et j'ai filmé des trucs en super 8, que je viens de faire numériser depuis le temps que je voulais le faire, mais il y avait d'autres priorités vu le prix que ça coûte pour mettre tout ça sur clé USB. C'est fait presque 50 ans plus tard. Faut encore que je fasse des montages numériques maintenant vu les confinatures actuelles.


alors j'ai fais un arrêt sur image tirée du film super 8 ( floue) et j'ai mis la même vue actuelle ( à peu-près ) après navigation su Google streets et retrouvé vaguement l'endroit. Pour agrémenter le tout et passer le temps :

Où suis-je ? qu'est ce que la fumée lointaine ? D'où sort-elle ?

J'ai cherché sur Internet : j'ai les réponses pour la fumée et " la cheminée" , la ville, on sait et l'artère je savais, mais pas le reste à l'époque, que je viens juste de revoir et m'instructionner.



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Posté par: Mik (IP Loggée)
Date: 17 mars, 2020 14:20

Je tente ma chance...
Tu es dans ulica Bohaterów Monte Cassino.
On dirait que la fumée sort du phare... a-t-il brûlé ?

Mik

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Posté par: jpaul (IP Loggée)
Date: 17 mars, 2020 18:16

Bravo Mik pour ulica Bohaterów Monte Cassino à Sopot. Bien vu aussi pour le phare, reste la fumée : non, non il ne brûle pas. Maintenant il parait que la fumée est blanche, mais est toujours-là, par moment.

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Posté par: Mik (IP Loggée)
Date: 18 mars, 2020 08:57

J'ai même cherché si un pape avait été élu en 1972 mais non.
Alors, fumée blanche ? je ne sais pas. De la craie ? de la farine ?
Un ravalement de façade du phare au moyen d'un sablage ?

Mik